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Les coins ronds
Film avec plusieurs longueurs et scènes plus où moins utiles. Ce film a dépeint le couple d’une façon négative que du début à la fin. Les acteurs n’étaient pas mauvais mais avec un tel script… Bref, bien déçu.
Très mauvais film
Décevant sur toute la ligne, on pensait au moins entendre de la musique d’Elvis…non pas vraiment. Le scénario est nul, l’histoire ne tient pas. Aucun fil conducteur. On est sortis ben désappointés
Féminisme et toxicité masculine version stars.
On peut ne pas être un grand fan du cinéma de Sofia Coppola sans pour autant nier ses qualités intrinsèques et une patte singulière et bien reconnaissable, entre mise en scène éthérée et douce mélancolie. La voir s’attaquer au genre du biopic - son second après « Marie-Antoinette » - et de manière encore une fois subjective était prometteur puisqu’il s’agit de celui de l’épouse du King, Priscilla Beaulieu devenu Priestley. Et cela aurait pu accoucher d’un film miroir dans un tout autre genre et d’un style radicalement différent après le flamboyant et excellent « Elvis » de Baz Luhrmann. Honnêtement, la comparaison s’arrêtera là tant ce « Priscilla » s’avère peu convaincant, voire même presque insignifiant. Attention, on ne parle pas d’un film raté ou mauvais juste d’une œuvre anodine au possible que rien ne vient transcender.
Le script de Coppola suit plus ou moins les mémoires écrites par la principale intéressée. On verra donc tout de son point de vue, de sa rencontre à sa séparation avec Elvis. « Priscilla » ne s’intéressera qu’à cette période puisque le cœur du film est sa relation avec lui. On parle donc (encore) de femme bafouée, d’emprise et de masculinité toxique. Pas qu’Elvis soit dépeint comme un pervers narcissique mais plus comme un manipulateur lunatique. Problème, depuis cinq ans on en goûte des films sur ce sujet et il semblerait que celui-ci arrive un peu tard avec un discours un peu léger et sans vraiment prendre ce thème de plein fouet. On perçoit également que la cinéaste veut montrer ce que c’est de vivre dans l’ombre d’une star, surtout quand on est jeune, naïve et innocente. Un milieu qu’elle connait de surcroit très bien. Le programme est donc prévisible et le problème c’est qu’hormis cette thématique, le film n’a pas grand-chose d’autre à offrir sur ses deux heures.
Alors on se console avec une reconstitution discrète mais soignée des années 60 et quelques séquences réussies disséminées de manière occasionnelle. Même la mise en scène de Coppola est décevante, un peu lisse et sans aucune envie d’apporter du neuf ou de rendre son atmosphère envoûtante comme souvent dans ces films. Le duo principal incarne ces rôles mythiques et fait le boulot mais sans nous époustoufler non plus. En gros, « Priscilla » déroule ses minutes sans aspérités et une fois la lumière rallumée on se dit qu’on n’a pas vu quelque chose de bien sensationnel au vu du potentiel du sujet. Coppola fille aurait-elle perdu son inspiration et son sens de la provocation punk et girly? Ou c’est juste qu’elle repasse sur des thématiques féministes louables mais qu’on nous rabâche peut-être un peu trop en ce moment (et souvent en mieux ailleurs. comme par exemple avec le français « Le Consentement » à l’affiche) ? Mystère, en tout cas on n’était pas loin de l’ennui poli et à moitié enveloppé dans une torpeur durant tout le film.
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En attendant Elvis
La vie des gens riches et célèbres
Perte de temps …
N'allez pas voir ça, gaspillage de pellicule.
Je suis d'accord; et quel être méprisable ce Elvis!