Bandes-annonces & Images

Revues de presse

Médiafilm

Bon
Lire la critique

S'il est vrai que l'ensemble possède une envergure toute relative, la vitalité de la mise en scène et l'enthousiasme débordant des acteurs parviennent à en faire un divertissement haut de gamme.

Martin Bilodeau Lire la critique complète

La Presse

Très bon
Lire la critique

Potiche est un film cool qui parle d'enjeux sociaux, de liberté, de libertinage, de stratification des classes sans jamais faire dans le réalisme social et sans trop forcer la caricature. Une jolie et charmante comédie de gauche.

Aleksi K. Lepage Lire la critique complète

Lecinema.ca

Excellent
Lire la critique

Comédie française la plus drôle depuis des lustres, Potiche cultive la bonne humeur avec un plaisir contagieux.

Martin Gignac Lire la critique complète

Voir

Très bon
Lire la critique

En résulte un film délicieusement décalé sur la libération de la femme et le prolétariat où l'émotion côtoie discrètement les fous rires.

Manon Dumais Lire la critique complète

24imag

Lire la critique

Au-delà de son intrigue boulevardière, de ses manoeuvres de séduction et du « savoir-faire » de François Ozon, Potiche est aussi un film sur le cinéma, sa mémoire, ses limites et sa capacité à réunir « those wonderful people out there in the dark».

Éric Fourlanty Lire la critique complète

The Gazette

Bon
Lire la critique

But in the end, try as you might, you can't resist Potiche's charms, and the result is a film that's more moving than you'd expect from such a frothy concoction.

Brendan Kelly Lire la critique complète

Libération

Lire la critique

On n’apprend donc rien : si cette Potiche tient plutôt fièrement debout, on le doit au meilleur talent d’Ozon, toujours aussi judicieux et précis quand il s’agit de choisir et diriger des acteurs. Deneuve parvient ici à ce qui est devenu le plus difficile pour elle, qui ne cesse d’en prendre le risque : nous surprendre.

Olivier Séguret Lire la critique complète

Télérama

Lire la critique

Mais Potiche n'est pas nihiliste, ni misogyne, ni misanthrope, ou alors joyeusement. Son ironie désabusée est sans cesse contrebalancée par un sens exacerbé du spectacle, des acteurs, de la mise en scène, comme autant de remèdes universels.

Louis Guichard Lire la critique complète

Le Nouvel Obs

Acceptable
Lire la critique

Renouant avec la veine de 8 Femmes, il filme une comédie joyeuse sur le « maternalisme » et l’émancipation, réfléchit sur le mythe (le couple historique Deneuve/Depardieu) et signe un film, émaillé de morceaux de bravoure, qui devrait faire « quelques » entrées. C’est, du moins, tout le mal qu’on lui souhaite.

Lucie Calet Lire la critique complète

Le Parisien

Très bon
Lire la critique

Malin, Ozon joue sur les deux tableaux, la reconstitution d'époque, vraiment drôle, et les résonances avec la France d'aujourd'hui. Entre Deneuve qui joue de son image avec un humour fou, l'hilarante misogynie de Luchini, Depardieu en « camarade » et les autres, on rit énormément.

Marie Sauvion Lire la critique complète

Le Figaro

Très bon
Lire la critique

De Sacha Guitry à Francis Veber en passant par la bande du Café de la Gare, les pièces de théâtre passées au cinéma ne manquent pas. Mais le succès n'est pas garanti et il faut savoir utiliser les bons outils. Ce que fait avec dextérité François Ozon dans l'adaptation d'un classique du boulevard.

Jean-Luc Wachthausen Lire la critique complète

Le Monde

Lire la critique

Potiche, le film, reste une farce, bouffonne et alerte. Mais Ozon est incapable de se prémunir contre la douleur du temps qui passe, pas plus que contre un amour du jeu qui confine à la perversité. Si bien que les tribulations de Suzanne Pujol (Catherine Deneuve) font à intervalles réguliers des embardées inattendues.

Thomas Sotinel Lire la critique complète

Le Point

Lire la critique

Du rythme, un très bon texte, un humour quasi british sur la France giscardienne, quelques clins d'oeil en direction de la France sarkozyste, tout cela suffit à faire de Potiche sans doute le film français le plus drôle de l'année.

François-Guillaume Lorrain Lire la critique complète