Player One
v.o.a. : Ready Player One
v.o.a. : Ready Player One - 70 mm
En 2045, Wade Watts s'évade de sa réalité ennuyante dans l'Oasis, un univers virtuel créé par un génie de l'informatique appelé James Halliday. Quand ce dernier décède, il décide de léguer toute sa fortune et le contrôle de l'Oasis à la personne qui sera en mesure de trouver les trois clés cachées dans le jeu. Aidé par ses amis, Wade s'efforcera de trouver ces « oeufs de Pâques » le premier et ainsi empêcher le patron de la compagnie IOI de devenir le nouveau propriétaire de l'Oasis. Grand admirateur du travail de Halliday, il s'efforcera de protéger sa création, peu importe le prix.
Distribution
Réalisation
Scénarisation
studios
- Amblin Entertainment
- De Line Pictures
- DreamWorks
- Farah Films & Management
- Random House Films
- RatPac-Dune Entertainment
- Reliance Entertainment
- Village Roadshow Pictures
distributeur
- Warner Bros. Canada
Liens
Revues de presse
Médiafilm
De Spielberg à Sheridan à Wade à Parsifal, nous passons d'un avatar à un autre pour atteindre le Saint-Graal des cinéphiles : investiguer l'espace filmique imaginé par Stanley Kubrick pour The Shining en 1980.
André Caron Lire la critique complèteMédiafilm
Reste l'impression que ce film-somme, mariage étourdissant des codes du cinéma et du jeu vidéo, se veut aussi le commentaire de l'auteur d'E.T. sur l'inévitable subordination du septième art par la réalité virtuelle.
Georges Privet Lire la critique complèteCinéfilic
En clair: Ready Player One est un divertissement à voir sur très grand écran, oubliable dès le lendemain, mais très plaisant sur le coup. Ce n'est pas si fréquent... alors autant en profiter!
Jean-Marie Lanlo Lire la critique complèteLa Presse
L'exploit de Spielberg - parce que c'en est un - est d'être parvenu à proposer un film évoquant le questionnement existentiel de notre époque en y liant passé et avenir.
Marc-André Lussier Lire la critique complèteLe Soleil
Avec un tel sujet, mélange de science-fiction virtuelle hallucinante, de nostalgie de la culture pop des années 80 et de petites leçons morales sur les apparences, la diversité, le ludique et l'amitié, le cinéaste est comme un enfant dans un magasin de bonbons. Il jubile et s'en gave jusqu'en avoir mal au coeur... Pour notre plus grand plaisir.
Éric Moreault Lire la critique complèteRolling Stone
Iconic filmmaker's take on a VR geek-lit touchstone will dazzle you into submission or die tryin'.
Peter Travers Lire la critique complèteVolture
Spielberg looms over Ready Player One like his true alter ego, which isn't the eager, sometime reckless Wade, but the forlorn, abstracted Halliday.
David Edelstein Lire la critique complèteThe Wrap
Gen X cultural references pack every overcrowded frame, but the pop-spotting quickly ceases to be fun.
Alonso Duralde Lire la critique complèteRogerebert.com
Ready Player One would have been a far more compelling film with either of these characters at its center, but we're stuck with Parzival as our bland yet brave conduit.
Christy Lemire Lire la critique complèteVariety
Steven Spielberg has turned Ernest Cline's novel into a virtual-reality fanboy geek-out that's entrancing when it's virtual, less so when it's real.
Owen Gleiberman Lire la critique complèteCinema Blend
While not quite peak Spielberg, Ready Player One is a fun exploration of pop culture with a fantastic sense of spectacle that mostly makes up for some weak plotting.
Conner Schwerdtfeger Lire la critique complèteJoblo.com
So while I'm not sure READY PLAYER ONE stands on its own as a distinct work, it can't be denied that it is what it is and is the best possible version of Cline's novel that could have been realistically done.
Chris Bumbray Lire la critique complète