Pirates des Caraïbes : La fontaine de Jouvence

Bavard, peu cohérent, assorti d'une idylle sirupeuse entre une sirène et un jeune missionnaire trop sexy pour être vrai, le récit se traîne sans réel suspense jusqu'à un dénouement attendu.

As you might expect from a band of pirates, every character on board Queen Anne's Revenge is more colorful than the next, and McShane and Cruz chew scenery right along with Depp and Rush to the point that Jack Sparrow sometimes seems to be the least cartoony of the bunch.

This film, the fourth in a series that made its improbable and profitable leap from the theme park to the multiplex eight summers ago, represents an attempt to rejuvenate a flagging franchise.

To be fair, the first twenty minutes of On Stranger Tides isn't bad at all, culminating in an energetic chase through London, which is really the film's only halfway decent action scene. From there it's all down hill.

Oh yeah, it's in 3-D, which is neat if you're into swords swung exaggeratedly in the direction of the camera, but otherwise may have you reaching for the Gravol.

But way before midpoint, Pirates 4 is infected with the repetitive action and blathering incoherence that scuttled its predecessors.

Johnny Depp as Captain Jack Sparrow is back in excellent form for his fourth adventure in Pirates of the Caribbean: On Stranger Tides, which is more serious in the hands of a new director, Rob Marshall, and thanks to Penelope Cruz it's also a good deal sexier.

Alors que les meilleurs moments de la série appartiennent encore aux autres épisodes, celui-là n'a pas un plan, pas une cascade, ni une joute à l'épée capable de surprendre le plus candide des spectateurs; Marshall échoue même là où il devrait réussir, lui qui est chorégraphe bien avant d'être cinéaste.

Même s'il parle de la fontaine de Jouvence, Pirates of the Caribbean: On Stranger Tides s'abreuve toujours à la même source au lieu d'apporter de véritables changements en profondeur. En résulte un divertissement honorable qui ne laisse, encore une fois, aucun souvenir impérissable.

Déjà que les deuxième et troisième épisodes de la célèbre saga de Disney étiraient platement la sauce avec leurs intrigues alambiquées, on ne se gênera donc pas pour dire que le quatrième volet est franchement de trop.

Heureusement, l'ensemble lève ici et là grâce à quelques lignes humoristiques bien envoyées; et dans les scènes d'action et de combat superbement chorégraphiées (réalisateur de Chicago et de Nine, Rob Marshall prouve que les numéros de production peuvent se décliner autrement qu'en dansant) qui sont, encore une fois, soutenues par cette trame sonore indissociable de la franchise que signe de Hans Zimmer.

Such an excess amount of piracy has been wrung out of the Pirates of the Caribbean franchise that assessing this fourth installment can be reduced to movie-sequel math. Here's how it goes down: 4 is better than 3, about the same as 2 and worse than 1.