Pink Lake
v.o.a. : Pink Lake
Un couple voit son quotidien paisible bousculé par la visite d'une bonne amie. Sam et Cora reçoivent Nadia avec toute la gentillesse qu'il se doit, alors que celle-ci vit une peine d'amour et la crainte de ne jamais être mère qui l'assaille. Très vite, Nadia demande à Sam d'être un donneur de sperme pour elle, afin qu'elle puisse connaître les joies de la maternité en compagnie de quelqu'un en qui elle a confiance. Hésitant, Sam finit par être d'accord, d'autant plus que sa conjointe ne souhaite pas avoir d'enfant et que ce pourrait être sa seule chance à lui aussi. Cora acceptera la proposition, mais des doutes s'installeront rapidement quant aux conséquences, nombreuses, de cette décision.
Distribution
- Alysa Touati (Cora)
- Charles Brooks (Sam)
- Marie-Marguerite Sabongui (Nadia)
- Sophie Desmarais (Sophie)
- Eric Digras (Eric)
- Michael Felber
- Guillaume Gagnon (Guillaume)
- Guillaume Gagnon
Réalisation
Production
studio
- Downtown Balat
distributeur
- Filmoption International
Liens
Revues de presse
Médiafilm
Malheureusement, les questions abordées ici - la viabilité du couple, le désir d'enfanter, les menaces qui plombent l'avenir de l'espèce, la poésie comme art de vivre - sont traitées de manière si désincarnée, au fil d'un scénario mince et étiré, qu'elles s'évaporent comme neige au soleil, sans générer quelque émotion ou intérêt.
Lire la critique complèteKinoCulture Montréal
C'est, en toute conscience, tourné en anglais. Encore une fois, on assiste à une séparation entre l'anglophonie et la francophonie dans le cinéma québécois. Deux solitudes qui semblent avoir décidé de rester séparées. Chacun chez soi. C'est bien mieux comme ça! Du moins, telle semble être la devise.
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