Philémon chante Habana
En 2009, Philémon a pris des vacances à Cuba. L'objectif était de se reposer... mais il a tout de même trouvé le moyen d'enregistrer quelques chansons. Deux années plus tard, après avoir finalement attiré l'attention d'une maison de disques, il retourne dans le pays de Fidel Castro avec un album sous le bras : <em>Les sessions cubaines</em>. Il renoue avec des amis, des musiciens et son studio où ont pris forme ses mélodies. Le jeune homme se souvient de ce moment fondamental de son existence, élaborant sur la genèse de quelques-unes de ses compositions, jouant quelques pièces au passage.
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- Faits Divers Média
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Le film a quelques longueurs mais il permet de tracer un portrait sans concessions d'un chanteur talentueux, original et sympathique qui est allé au bout de ses inspirations, même et surtout les plus folles.
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Malgré quelques longueurs musicales, Philémon Chante Habana demeure un portrait franc d'un jeune artiste qui désirait faire autrement. Bien que l'amitié entre les deux hommes transperce l'écran, le documentaire, lui, demeure juste et montre autant les images glorieuses du garçon à la guitare que ses moments plus vulnérables – son retour au fameux studio EGREM, par exemple – et ses instants de solitude.
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