Personal Shopper

It doesn’t entirely work as a film, and it can be dull at times, but Personal Shopper remains worth watching for Stewart’s performance alone.

French supernatural drama is a perfect showcase for one this generation's most fearless leading actresses.

Olivier Assayas (“Clouds of Sils Maria”) examines 20-somethings, living and dead, who find themselves stuck between places

But just because this is an unsatisfying film doesn’t mean it’s not a beauty.

Assez inspiré, Personal Shopper semble faire tache dans la filmographie d'Olivier Assayas.

Oubliez la Kristen Stewart des Twilight, c'était un malentendu. Pensez Into the Wild, On the Road, American Ultra, Café Society, Still Alice et, encore, Sils Maria - qui lui a valu le César de la meilleure actrice dans un second rôle.

Il faut bien avouer que Sils Maria était meilleur, mais Personal Shopper se situe néanmoins dans cette catégorie de longs métrages qu'on apprécie.

La performance de Kirsten Stewart s'avère en ce sens monumentale : à la fois nerveuse et subtile, présente et effacée, ne révélant que progressivement et très subtilement l'ampleur de la souffrance qui afflige son personnage.

Nonobstant les tactiques réalistes utilisées ici pour exacerber le suspense et le mal-être de la protagoniste, le montage révèle également chez l'auteur une grande virtuosité technique, et un flair particulier pour le cinéma d'épouvante.

Au final, Personal Shopper est un film qui ne fait certes rien pour plaire à tout prix… mais qui parvient à fasciner avec un minimum d'effets.