Pauvres créatures
v.o.a. : Poor Things
Bella s'est noyée pour échapper à son mari violent. Le docteur Baxter a remplacé le cerveau de la défunte par celui de son enfant à naître. La femme doit tout réapprendre et elle pose un regard nouveau et naïf sur la vie. Avant de se marier, elle est appelée à visiter le monde qui l'entoure. Elle est confiée aux bons soins du séducteur Duncan Wedderburn. Contre toutes attentes, Bella adore ce qu'elle trouve et multiplie les comportements étonnants. Elle forge ses idées au fil de ses rencontres, ce qui finit par déboussoler son entourage.
Distribution
- Emma Stone (Bella Baxter)
- Willem Dafoe (Dr. Godwin Baxter)
- Mark Ruffalo (Duncan Wedderburn)
- Margaret Qualley (Felicity)
- Ramy Youssef (Max McCandles)
- Christopher Abbott (Alfie Blessington)
- Kathryn Hunter (Swiney)
- Jerrod Carmichael (Harry Astley)
- Suzy Bemba (Toinette)
- John Locke (David)
Réalisation
Production
Scénarisation
- Tony McNamara
- Alasdair Gray (Basé sur le roman de)
studios
- Element Pictures
- Film4
- Searchlight Pictures
distributeur
- Walt Disney Pictures Canada
Liens
Revues de presse
Médiafilm
Reste que l'effet le plus spécial à signaler est la performance d'Emma Stone, stupéfiante en "monstre" perdue dans un monde plus monstrueux encore. Mi-créature de Frankenstein, mi-enfant sauvage, elle est l'héroïne inoubliable de cette vertigineuse plongée au coeur des relations hommes-femmes qui, malgré quelques longueurs et facilités, s'impose par son audace et son inventivité.
Lire la critique complèteLa Presse
Il reste que l'adaptation du roman homonyme du regretté écrivain écossais Alasdair Gray, publié en 1992, est jouissive, dans tous les sens du terme.
Lire la critique complèteJournal de Montréal
Le cinéaste Yorgos Lanthimos offre à Emma Stone l'un de ses meilleurs - et plus étranges - rôles dans ce Pauvres créatures déjanté où elle affronte Willem Dafoe et Mark Ruffalo.
Lire la critique complèteKinoCulture Montréal
Érotique pour les bonnes raisons, discursif pour l'effet qu'il produit sur le « regard » et tout particulièrement, sur l'humour vitriolique qu'il porte sur la condition humaine.
Lire la critique complète