Ouistreham
Marianne Winckler est une écrivaine reconnue, qui a publié plusieurs ouvrages bien connus. Pour son nouvel opus, celle-ci espère travailler sur la précarité au travail. Pour se faire, elle installera temporairement ses pénates près de Caen et donnera son nom pour joindre une équipe de femmes de ménage. Là, elle comprendra que ces femmes doivent composer avec la fragilité économique et financière et l'invisibilité sociale. Mais elle comprendra aussi que l'entraide et la solidarité qui unissent ces femmes fortes sont des choses particulièrement précieuses.
Distribution
- Juliette Binoche (Marianne Winckler)
- Hélène Lambert (Chrystèle)
- Léa Carne (Marilou)
- Émily Madeleine (Justine Leroy)
- Évelyne Porée (Nadège Porteur)
- Patricia Prieur (Michèle)
- Louise Pociecka (Louise)
- Aude Ruyter (Lucie)
- Jérémy Lechevallier (Eric)
- Steve Papagiannis (Steve)
Réalisation
Production
Scénarisation
- Emmanuel Carrère
- Hélène Devynck
- Florence Aubenas (Basé sur le roman de)
studios
- Cinéfrance Studios
- Curiosa Films
- France 3 Cinéma
- Studio Exception
distributeur
- Axia Films
Liens
Revues de presse
Médiafilm
À l'exception de l'excellente Juliette Binoche et de quelques autres passagers fugitifs de ce Ouistreham "trafiqué" pour le cinéma, mais fidèle à l'idée de départ de la journaliste: documenter et donner un visage à la précarité.
Lire la critique complèteCinéfilic
Le résultat est une oeuvre remarquable, qui se dévore comme un divertissement bien huilé et qui nous hante ensuite en laissant une multitudes de questions auxquelles il nous est également bien difficile de répondre simplement!
Lire la critique complèteLe Soleil
Adapté du récit de la journaliste Florence Aubenas, le film Ouistreham compte sur l'actrice oscarisée Juliette Binoche pour offrir une voix à des travailleuses au statut précaire. Ce sont toutefois des comédiennes non professionnelles recrutées dans le milieu qui réussissent le mieux à traduire cette intention de «rendre visibles les invisibles'.
Lire la critique complèteKinoCulture Montréal
En attendant, Carrère soulève le débat même si enclin au ton romanesque, préférant l'horizontalité du récit à la complexité d'élans pris sur le vif.
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