Oppenheimer

Surrounded by a deep cast of passionate actors, Cillian Murphy gives an astounding performance as the "father of the atomic bomb."

Christopher Nolan's Oppenheimer ranks as one of the director's most profound and weighty films, with a message that's hard to shake.

Another winning biopic turns textbook history into one of this year's best films.

Oeuvre encore plus enchevêtrée que Dunkirk dont elle constitue le pendant sombre de cette exploration de la Seconde Guerre mondiale et de ses suites, ce long métrage de Christopher Nolan incite le spectateur à se poser ultimement la question de la place du discours scientifique dans la sphère publique.

La distribution éblouissante comprenant Cillian Murphy, Emily Blunt, Matt Damon, Robert Downey Jr. et Florence Pugh, pour ne citer qu'eux, donne vie à la vision, non dénuée de défauts mais néanmoins passionnante, qu'a Christopher Nolan du père de la bombe atomique.

Donc, beaucoup de talent (on le savait), parfois un peu trop envie d'en faire l'étalage (on le savait aussi), mais le sujet passionnant finit par prendre le dessus sur la tendance de Nolan à se prendre les pieds dans un excès d'ambition.

L'impression d'être témoin des évènements d'Oppenheimer est si forte et la réflexion offerte à la toute fin si puissante qu'il est presque impossible de l'apprécier comme un simple divertissement.

L'impression d'être témoin des évènements d'Oppenheimer est si forte et la réflexion offerte à la toute fin si puissante qu'il est presque impossible de l'apprécier comme un simple divertissement. Ce n'est pas une mauvaise chose, cependant. C'est du cinéma.

Cillian Murphy incarne avec brio le protagoniste torturé. Il se fait voler la vedette par Robert Downey, méconnaissable dans le rôle du président de la Commission de l'énergie atomique des États-Unis (AEC) qui accuse à tort Oppenheimer d'espionnage.