Oculus
v.o.a. : Oculus
Au bout de 11 années, Tim est autorisé à quitter l'hôpital psychiatrique. Le jeune homme de 21 ans ne rêve que de faire un trait sur son passé et de reprendre une existence normale. Sa soeur aînée Kaylie le replonge pourtant dans ses souvenirs, le ramenant à la demeure familiale où il s'est produit une tragédie entre maman et papa. Kaylie est convaincue qu'un vieux miroir est responsable de ce cauchemar et elle tente de le prouver en posant des caméras dans la maison. Rapidement, le frère et la soeur commencent à halluciner, étant incapable de séparer le vrai du faux.
Réalisation
Production
Scénarisation
studios
- Intrepid Pictures
- Blumhouse Productions
- WWE Studios
distributeur
- VVS Films
Liens
Revues de presse
Médiafilm
On déplore également que le miroir maléfique n'acquière jamais valeur de personnage. Reste que tous les interprètes, tant les enfants que les adultes, offrent des prestations fort convaincantes.
Lire la critique complèteJoblo.com
Oculus left me feeling uneasy and stimulated, something of a perfect reaction to a horror movie of this sort. It's a very nice surprise, and the signaling of a bold new voice in the horror genre.
Lire la critique complèteCinema Blend
Along the way, Flanagan wisely avoids “look at me” scares and gratuitous tricks to goose his viewers. This is a bare-bones, stripped down and decidedly simple possession story with roots in The Amityville Horror or The Shining.
Lire la critique complèteCanoë
La facture visuelle d'Oculus est soignée, l'ambiance donne la chair de poule. On baigne dans une atmosphère inquiétante, surréelle, grâce à un bon scénario et de solides prestations d'acteurs.
Lire la critique complèteLa Presse
Mais dans le petit monde étréci du cinéma fantastique, cet objet filmique hors du commun, visuellement médiocre, au scénario brillant (qui ramène à l'esprit les thrillers ésotériques de Shyamalan et l'ovni Donnie Darko de Richard Kelly), va assurément s'ajouter au catalogue des films de genre les plus réjouissants, et les plus bizarres, de cette décennie.
Lire la critique complète