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Notre Dame de Grâce
v.o.a. : Good Neighbours
En 1995, à l'approche du référendum, le quotidien de trois locataires d'un immeuble de Notre-Dame-de-Grâce est bouleversé par les meurtres cruels d'un tueur en série. Spencer, qui doit se déplacer en fauteuil roulant depuis un accident de voiture, vit seul sans sortir de chez lui; Louise, qui ne pense qu'à ses chats, est en conflit avec une voisine dépressive et Victor, qui vient d'emménager, essaie maladroitement de se faire des amis et de séduire Louise. Lorsqu'un meurtre est commis dans l'immeuble et que la police enquête, les trois amis en viennent à se soupçonner mutuellement.
Réalisation
Scénarisation
Production
Studio
- Myriad Pictures
- Park Ex Pictures
Distributeur
- Alliance Vivafilm
Liens
Revues de presse
La Presse
Bien que correctement réalisé et interprété, Good Neighbours ne suscite pas autant l'enthousiasme que le précédent film du réalisateur.
Lire la critique complèteMédiafilm
La mise en scène réfléchie recourt à de bons effets de transition qui dynamisent l'ensemble, aidant non seulement le film à garder un bon rythme, mais évitant aussi que l'on ne s'arrête à certaines coïncidences commodes.
Lire la critique complèteLecinema.ca
Le symbolisme est lourd, cette obsession de filmer des chats devient lassante, et même si la seconde partie est beaucoup plus intéressante que la précédente, le mal est déjà fait.
Lire la critique complèteFilms du Québec
Les décors, la photographie ainsi que les autres aspects techniques ne sont pas en reste et sont maîtrisés adroitement. Good Neighbours possède des allures de série B réussie. Toutefois on peut regretter que le film manque un peu de rythme et que les personnages secondaires soient un peu à l'écart.
Lire la critique complèteVoir
Quelques maladresses techniques viennent également nuire à l'ensemble, tels le manque de fluidité des nombreux mouvements de caméra ou les choix de cadrages, dictés davantage par les limites de l'environnement que par une véritable volonté esthétique.
Lire la critique complèteThe Gazette
Speedman is charismatic and somehow totally disturbing. Hampshire's Louise is a nuanced study in depression, and Baruchel makes Victor suitably jumpy, nervous and oddly irritating.
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