Norbourg
v.o.f.s.-t.a. : Norbourg
L'inspecteur et vérificateur Éric Asselin est chargé de surveiller les activités de Vincent Lacroix et sa compagnie, Norbourg. Voyant que l'argent n'est pas un souci pour l'entrepreneur, Asselin quitte son emploi pour s'allier avec Lacroix. Ensemble, les deux hommes détourneront des millions de dollars, fraudant de nombreux investisseurs. Mais, bientôt, l'Autorité des marchés financiers lèvera le voile sur les comportements douteux de Vincent Lacroix et Éric Asselin devra choisir entre sauver sa peau ou aider son complice.
Distribution
- Vincent-Guillaume Otis (Éric Asselin)
- François Arnaud (Vincent Lacroix)
- Christine Beaulieu (Anne-Marie Boisvert)
- Alexandre Goyette (Julien Giguère)
- Alex Godbout (Carl Bilodeau)
- Guy Thauvette (Paul-Émile Trudel)
Réalisation
Production
Scénarisation
studio
- Films du Boulevard
distributeurs
- Entract Films
- Maison 4:3
Liens
Revues de presse
Médiafilm
Serré et précis, le scénario de Lavoie omet toutefois de donner un peu de chair et de profondeur aux personnages. Ceux-ci sont néanmoins incarnés avec conviction par Vincent-Guillaume Otis et François Arnaud.
Lire la critique complèteJournal de Montréal
En portant à l'écran le plus grand scandale financier de l'histoire du Québec, Maxime Giroux et Simon Lavoie ont voulu offrir un divertissement grand public qui saura éveiller les consciences. On peut dire qu'ils ont réussi leur pari.
Lire la critique complèteLa Presse
La mise en scène de Maxime Giroux, un cinéaste qui, après des oeuvres comme Félix et Meira et La grande noirceur, s'aventure pour la première fois dans la réalisation d'un long métrage destiné à un plus large public, est entièrement mise au service de l'histoire. Et se révèle redoutablement efficace.
Lire la critique complèteFilms du Québec
Le film de Maxime Giroux est un produit formaté qui se regarde sans ennui, mais à qui il manque un petit supplément d'émotion et de grandeur.
Lire la critique complèteLe Soleil
Dans un monde financier qui n'a rien de visuellement flamboyant, le film de Maxime Giroux crée une tension en montrant d'un autre angle une histoire qu'on croyait connaître.
Lire la critique complèteKinoCulture Montréal
Mais si Norbourg est réussi, c'est grâce aussi à la mise en scène hollywoodienne assumée de Giroux (et pourquoi pas, grand bien lui fasse), et bien entendu en raison de l'excellente direction photo de Sara Mishara.
Lire la critique complèteCinéfilic
C'est à se demander si Giroux et Lavoie, qui ont toujours oeuvré au sein d'un septième art indépendant, n'ont pas voulu imiter leur sujet afin de palper un cinéma commercial et populaire en offrant exactement ce que le client demande : une production lisse et impersonnelle, pas inintéressante mais dénuée d'âme, qui embrasse volontairement les conventions pour -- c'est à espérer pour eux -- s'en mettre plein les poches.
Lire la critique complète