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v.o.esp.s.-t.a. : No
En 1988, le dictateur Augusto Pinochet accepte de tenir un référendum afin de savoir si le peuple chilien désire le voir demeurer au pouvoir, ou si celui-ci ne préfère pas plutôt la tenue d'élections libres. Évidemment, plusieurs croient que les dés sont truqués et que l'état ne reconnaîtra jamais une éventuelle défaite. Ce sera néanmoins le début d'une lutte médiatique acharnée entre les camps du Oui et du Non. Plutôt que de dénoncer de nouveau les atrocités commises par le régime au cours des années passées, l'opposition organisera sa campagne autour de l'optimisme, croyant que la promesse d'un avenir plus joyeux convaincra davantage les électeurs d'exercer leur droit de vote.
Distribution
Réalisation
Scénarisation
studios
- Fabula
- Canana Films
distributeur
- Métropole Films Distribution
Liens
Revues de presse
Médiafilm
Il résulte de ce parti pris pas banal un film râpeux et sans beauté plastique évidente, modulé par un scénario libre, à la fois dense et elliptique, sincère mais également cynique.
Lire la critique complètePanorama-Cinéma
Larraín aura su compenser en élaborant une mise en scène instinctive et dynamique dont l'efficacité narrative sera particulièrement mise à profit lorsque cette guerre de tranchées entre les deux camps se mettra véritablement en branle.
Lire la critique complèteLa Presse
Grâce à une mise en scène très dynamique, Larrain provoque chez le spectateur un sentiment euphorique qui, pourtant, laissera un arrière-goût une fois les projecteurs éteints.
Lire la critique complèteAgence QMI
Extrêmement intéressant malgré quelques longueurs, No est donc un long métrage qui passionnera les amateurs d'histoire.
Lire la critique complèteVoir
Bien que l'on connaisse les résultats du référendum, No n'en demeure pas moins un drame politique haletant dont la tension va en grandissant alors que ce héros en skate se forge une conscience politique.
Lire la critique complèteCinéfilic
Dans le rôle du chef de campagne publicitaire, Gael Garcia Bernal excelle. Son jeu tout en sobriété fait de son personnage un être ambigu qu'on a souvent du mal à cerner.
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