Niagara
v.o.f.s.-t.a. : Niagara
La vie ne sourit plus à Alain. Ayant perdu son emploi et son amoureuse pratiquement au même moment, il pense se suicider. Son téléphone sonne avant qu'il puisse passer à l'acte. C'est son frère Léo-Louis qui lui annonce le décès de leur père. Alain quitte Québec pour rejoindre son frangin à Montréal. Ensemble, ils feront un périple en voiture afin de retrouver leur aîné Victor. Le voyage est long pour ces deux hommes qui portent une colère en eux. Surtout que leur route croise l'ancienne maison familiale, ce qui fait resurgir des souvenirs du passé.
Distribution
- François Pérusse (Alain)
- Éric Bernier (Léo-Louis)
- Guy Jodoin (Victor)
- Marcel Sabourin (Léopold)
- Muriel Dutil (Céline)
- Véronic DiCaire (Stacy)
Réalisation
Production
Scénarisation
studios
- SODEC
- Téléfilm Canada
- Club illico
distributeur
- Entract Films
Liens
Revues de presse
Médiafilm
Outre une prémisse tragicomique inédite et une incursion dans un milieu franco-ontarien peu montré sur les écrans québécois, Niagara ne se distingue guère des récentes productions locales sur le thème de la réunion familiale forcée après la mort du père
Lire la critique complèteJournal de Montréal
Guillaume Lambert - qui joue également un petit rôle dans le film - a eu du flair en confiant le rôle principal à François Pérusse. Celui-ci émeut par le naturel de son jeu et la tristesse dans son regard. Guy Jodoin et Éric Bernier apportent aussi leur pierre à l'édifice, en insufflant chacun leur propres humour et énergie au film.
Lire la critique complèteLa Presse
En somme, on se sent parfois distrait pendant Niagara, mais on n'en demeure pas moins séduit, amusé et touché par l'histoire de ces trois frères qui se remettent en question après le départ de leur père.
Lire la critique complèteFilms du Québec
Malgré ses faiblesses, Niagara marque une nette progression par rapport à ce que Guillaume Lambert avait montré avec Les scènes fortuites.
Lire la critique complèteLe Soleil
Road-trip familial sur fond de deuil et de remises en question, Niagara prend maints et maints détours pour arriver à ses fins. Ce deuxième long métrage de Guillaume Lambert compte sur une distribution truffée de visages connus, mais souffre d'un scénario quelque peu éparpillé.
Lire la critique complèteKinoCulture Montréal
Tout compte fait, Niagara est surtout un film d'acteurs. Et ceux-ci sont privilégiés d'être sous la houlette d'un extraordinaire metteur en scène. Guillaume Lambert persiste et signe avec une retentissante et vibrante ténacité.
Lire la critique complèteCiné-histoire
Soit cette seconde moitié est mieux fignolée, soit Jodoin et Sabourin ont su élever la qualité générale du long métrage. Quoi qu'il en soit, l'attendue rencontre entre les trois frères et leur tentative de réconciliation d'avec leur mère (Muriel Dutil) devient soudainement un peu plus intéressante, bien que réchauffée.
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