Never Look Away
Kurt est âgé d'à peine quatre ans lorsqu'il voit de l'art pictural pour la première fois. Cet événement sera plus marquant pour lui que la Deuxième Guerre mondiale dans laquelle il a passé son enfance. En 1951, Kurt étudie l'art. Malheureusement pour lui, sa créativité est étouffée par l'exigence de conformité de ses maîtres. Lui et sa tendre moitié, Elizabeth, décident donc de partir vers l'ouest, où l'art y est plus moderne. À l'école de Düsseldorf, Kurt a enfin la possibilité d'exprimer son excentricité et devenir l'artiste qu'il a toujours voulu être.
Distribution
- Tom Schilling (Kurt Barnert)
- Saskia Rosendahl (Elisabeth May)
- Sebastian Koch (Professeur Carl Seeband)
- Paula Beer (Ellie Seeband)
- Oliver Masucci (Professeur Antonius van Verten)
- Cai Cohrs (Kurt Barnert (âgé de 6 ans))
- Ina Weisse (Martha Seeband)
- Evgeniy Sidikhin (Major Murawjow de la NKWD)
- Hanno Koffler (Günther Preusser)
Réalisation
Production
Scénarisation
studios
- Pergamon Film
- Wiedemann & Berg Filmproduktion
distributeur
- Métropole Films Distribution
Liens
Revues de presse
Médiafilm
Librement inspiré de la vie du peintre Gerhard Richter, cet éloge de l'anticonformisme en art est pourtant mis en scène sans réelle prise de risque, alors que le scénario s'enferme dans les conventions dramatiques et les raccourcis psychologiques.
Lire la critique complèteCinémaniak.net
Le film respecte bien son sujet avec une caméra à l'avant-plan lors des trois heures de projection.
Lire la critique complèteSéquences
On ne peut donc reprocher à Richter, personnage fort privé, son irritation publique vis-à-vis d'un film qui ressemble vraiment beaucoup à une biographie.
Lire la critique complèteLa Presse
Librement inspiré de la vie de l'artiste Gerhard Richter, Never Look Away s'étire sur un peu plus de trois heures en maintenant un bon rythme. L'angle le plus intéressant du récit est sans contredit celui où la vérité historique se révèle progressivement à travers une démarche artistique. En découle un formidable plaidoyer en faveur de l'art. Et de sa pertinence.
Lire la critique complèteRogerebert.com
The more I think about "Never Look Away," the more I think about it (...).
Lire la critique complèteRolling Stone
Germany's submission for the Best Foreign-Language Oscar turns a Gerald Richter-like painter into a symbol of social change.
Lire la critique complète