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Neuf héhé
Et Bien se film je dois avouer que le seul moment ou je pouvais reelement acrocher étais les moments ou il avait les filles qui chantais et encore la je ses pas mes Des fois j'avais l'impression que les filles chantais toute la meme chanson ... Peut-etre que setais la meme mes bon ., J'adort les comedie musical mes celle la ma partiellement deçu Les Bande D'annonce que je voyais a la télé de se film me semblais vraiment interressant mes je dois vous avouer que lorsque je les louer et bien je n'est pas eu le temps de le finir que je me suis endormie ., Ses vraiment plate a dire mes je m'attendais a mieu de la par du producteur et Créateure tous simplement ,. Mes Je donne 5 Étoiles Au Acteur & Actrice Qui sontais Fantastique leur voix étais tres Belle =) Mes sa reste que sa ne fera pas partie des film qui sont Fantastique a mes yeux ..... :S
Mes Belle Job pareil . ;)
Critique Neuf
Rob Marshall nous revient avec une nouvelle comédie musicale qui après son cours passage dans le film «asiatique» qu’était mémoire d’une Geisha et retrouve donc l’ambiance qui l’avait surtout mis sous le feux des projecteurs par le biais de Chicago sauf que Nine se veut beaucoup plus engagé et ambitieux s’intéressant cette fois-ci aux déboires d’un cinéaste sur la banqueroute et déjanté en manque d’inspiration c’est d’ailleurs de ce coté la que la film arrive à nous faire vibrer, en effet l’intrigue cinématographique nous retient plus l’attention que le reste beaucoup trop ancrés aux clichés et stéréotypes avec aussi une performance des acteurs bien en deca des talents qu’ils ont chacun et les numéros musicaux qui se révèlent être assez inutiles. Il faut dire que se genre musical est assez compliqué à aborder mais n’est pas Minnelli qui veut, lui qui savait si bien filmer les danseurs et chanteurs de génies de l’époques des années 50 et il est donc évident que tout cinéaste qui s’aventure dans ce type de challenge doit réussir à filmer ces génies d’une façon particulière et unique, certes Daniel Day-Lewis est parfait dans le rôle du réalisateur en recherche d’inspiration, une très bonne interprétation proche de Fellini, lui qui avait une vie assez démesurée, il nous est ainsi assez difficile de faire la parallèle entre le film 8 ½ et celui du réalisateur dans Nine, on a ainsi le sentiment que Nine serait donc un film épique, sorte de documentaire qui montre comment un grand réalisateur orchestre le massacre d’un film qui aurait marqué le retour du cinéaste. C’est donc dans cette optique que Marshall propose de faire une synthèse du film de Fellini proposant de mélanger deux histoires avec comme socle du film la musique. Le problème est qu’a part les cinéphiles connaissant bien l’univers de Fellini et donc de son film 8 ½, personnes ne trouvera Nine à la hauteur, manquant de souffle dans la mise en scène voir épique dans les chants musicaux qui sont certes bien interprétés mais qui ne dégagent aucune sensation, il est donc difficile de revenir dans un rythme et un chef d’œuvre comme ceux des années précédentes, le chant des actrices, on est certes content de voir notre Marion national mais celle-ci n’arrive pas à nous convaincre dans le rôle de la femme trompée, mettons nous la barre trop haut? En tout cas, une chose est sur c’est qu’elle est une bonne actrice mais ce rôle n’était peut être pas fait pour elle, la prestation de Pénélope Cruz est tout à fait remarquable. Les dialogues entre Day-Lewis et Dench sa confidente sont tout à fait remarquable et sont les meilleurs du film et propose de belles scènes comme celle de la conférence de presse qui finit en beauté. Mais cela ne suffit pas pour faire passer un bon moment vraiment apaisante, tant on découvre très vite les limites du film, dont on sent la volonté de Marshall de le pousser vers le haut mais Nine est plus une comédie musicale qu’un hommage satirique car dès que l’on commence à rentrer dans l’intrigue et que l’on se prend d’affection au personnage du réalisateur, on est tout de suite arrêté par les numéros musicaux, ce qui finit par rendre les personnages irritables, où seul le rôle de la confidente parmi les nombreuses femmes qui entourent le réalisateur est vraiment intéressante, car Pénélope Cruz qui joue l’amante est plus que prévisible, la prostituée, la mère, la journaliste, la muse et pour finir la femme. Bref ceux qui s’en sortent vraiment bien dans leur interprétation musicale s’avèrent être ceux qui n’apportent rien à l’histoire ainsi la journaliste résume très bien dans sa chanson, l’ambiance du film, tout est dans le style et rien n’est dans l’histoire, même la prestation de Fergie des Black Eyed Peas qui interprète un numéro impressionnant est cassé par des effets de mise en scène grotesque usant de trucs et astuces comme le jet de sable remplaçant la poudre aux yeux.
Il faut dire aussi que le cinéma hollywoodien manque désormais de vrais comédiens capables de subjuguer et de monopoliser la camera, la danse ayant été longtemps une forme d’expression comme les performances de Gene Kelly qui expliquait que la danse retranscrivait les sentiments, au final le film est décevant face aux castings plus que 4 étoiles qu’il offrait, même la prestation de Day-Lewis finit par nous hériter, à force que ce dernier prenne des accents à chacun de ces rôles, Sophia Loren qui est ici de passage est plus ici en tant que marraine, bref Nine est tout le temps à coté de ce que l’on attendait à savoir un réel hommage à Fellini, qui au final ne risque pas de se retourner dans sa tombe avec ce film. Marshall a pris le risque de faire apparaitre sur la même affiche un nombre importants de filles provoquant un risque schématisme obligatoire, qui rentre dans les cases bien définit des rôles des femmes, au final (en excluant ses prestations vocales) seule Cotillard s’en sort par un souci de timidité. De plus, Marshall renvoi toujours (déjà le cas dans Mémoire d’une Geisha) ce qu’il voit en le fait de les catalogués d’office avec une vignette édulcorée, comme le fait de coller l’Italie à l’image de Rome, avec des petites voitures, paparazzis, lunettes noires…. Il est loin le temps d’un bon film comme Chicago pour Marshall ou Moulin Rouge pour le genre.
Sans émotion moi aussi... (m.Filion vous n'êtes plus seul)
Bof.....le film a de bon acteur mais.....il est long a certain moment. Et disons que Guido imagine des choses vraiment étrange. Mais...j'ai bien aimé les filles en tenues légère. :p
Aye!
Ils auraient pu faire quelque chose avec ce film... cependant, je ne l'ai pas vu. Après 10 minutes, je me demandais s'il allait avoir un progressement quelconque... après 30 minutes aussi... au bout d'une heure trente je suis sortie du film... certaine scène ne sont pas justifié... En fait la seule impression que j'ai c'est qu'ils ne savaient vraiment pas quoi faire comme film...
Je pense qu'il n'y a pas de mauvaises idées en soi, mais tout se joue dans la façon d'emmener un sujet... Malheureusement, je crois que pour ce film, la façon de raconter cette histoire a été un flop...
À louer chez vous si vous tenez vraiment à le voir.
Ils appellent ça un film?
Quelle perte de temps! Et dire que j'ai vu ce film le jour de mon anniversaire... On a ici retenté de faire ce que Chicago avait réussi avec succès... mais on s'y est perdu totalement!!! Pourtant, la distribution promettait un film sensationnel. Et bien, j'ai été sensationnellement déçu. Pour les deux ou trois bonnes chansons, l'histoire quant à elle... en fait, il n'y a pas d'histoire! Bref, j'ai été très déçu et je crois que Alvin et les chipmunks m'aurait fait passer une meilleure soirée de fête!
Déception
Un film avec beaucoup de longueur. J'ai été royalement déçue....une bande-annonce trompeuse.
Be Italian
Très bonne comédie musicale!Magnifique distribution.Les numéros musicaux et les chansons sont exellents.Un film qui a tout pour plaire.
neuf
quel beau film. Une caméra extraordiaire tant à Rome que lors des spectacles. Pour ceux qui aime la musique et la danse.
Pierre1
Distribution gâchée
C'est une copie du vieux classique All that Jazz avec Roy Scheider vraiment mal réalisée. Passer de Chicago à ça et tout gâcher malgrés une distribution haute-gamme, sans profiter de la merveilleuse présence de Daniel Day-Lewis. Pardon, c'est nul...
Quand All that Jazz rencontre Les Feux de l'Amour avec un Daniel Day-Lewis si peu en valeur qu'il aurait pu être remplacé par Hugh Grant dans ce film copié d'un chef-d'oeuvre NEUF fois meilleurs.
Le meilleur moment du film, Fergie... pfff