Neneh Superstar
Neneh est une jeune fille de 12 ans bourrée de talent et remplie d'ambition. Son rêve est de devenir ballerine. Pour ce faire, elle souhaite à tout prix réussir à rentrer à l'école de ballet de L'Opéra de Paris. Ses origines modestes et culturelles s'avéreront toutefois un obstacle. Elle devra donc redoubler d'ardeur et travailler d'arrache-pied pour convaincre la directrice de l'établissement, Marianne Bellage, une femme autoritaire, garante des traditions et qui porte avec elle un lourd secret qui la relie à la jeune danseuse.
Distribution
- Oumy Bruni Garrel (Neneh Fanta-Gnaoré)
- Maïwenn (Marianne Belage)
- Aïssa Maïga (Martine Gnaoré)
- Steve Tientcheu (Fred Gnaoré)
- Cédric Kahn (Jean-Claude Kahane)
- Alexandre Steiger (Alexandre Boucher)
Réalisation
Production
Scénarisation
studio
- Gaumont
distributeur
- AZ Films
Liens
Revues de presse
Médiafilm
Véritable boule d'énergie, fougueuse et juste, Oumy Bruni Garrel, fille adoptive de Valeria Bruni-Tedeschi et Louis Garrel, fait de Neneh un parfait modèle pour les jeunes adolescentes.
Lire la critique complèteLe Soleil
Mais on en revient toujours à Oumy Bruni Garrel, à sa présence fraîche, dynamique et lumineuse à l'écran. Gageons qu'on la reverra avant longtemps.
Lire la critique complèteLa Presse
Quelque peu inégal, Neneh superstar reste un film qui saura certainement plaire à beaucoup.
Lire la critique complèteLa voix du nord
Dommage que l'épilogue soit expédié et plus convenu. On gardera en tête la fougue de Neneh (Oumy Bruni Garrel, fille adoptive de Valeria Bruni-Tedeschi et Louis Garrel). Un tempérament à la pointe !
Lire la critique complèteVoir
Dommage que le film ne se hisse jamais à sa hauteur, plombé par une grande faiblesse d'écriture des seconds rôles tous réduits à des archétypes et par ricochet à un scénario terriblement manichéen et dépourvu de surprises.
Lire la critique complèteLe Parisien
Autour de cette héroïne craquante, les personnages secondaires, notamment ceux des parents de Neneh, finement écrits, évitent les clichés.
Lire la critique complèteLa Croix
Le cinéaste Ramzi Ben Sliman dépeint avec acuité le conservatisme du « ballet blanc » et son rejet de toute différence (physique, sociale, etc.) regardée comme de mauvais goût.
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