Nadia, butterfly
v.o.f.s.-t.a. : Nadia, butterfly
Ce sont les Jeux olympiques de Tokyo. Nadia, 23 ans, nage pour le Canada. Elle compte profiter à fond de cette expérience unique, car la retraite cogne à la porte. Ce saut dans le vide lui fait peur, surtout qu'elle ne connaît rien d'autre que la natation. Mais avant, place à la compétition. Après une quatrième place en solo, elle mise le tout sur le relais. La chimie est excellente avec les nageuses de son équipe et les chances de médailles s'avèrent envisageables. Ce serait l'aboutissement d'une existence où les efforts et les sacrifices furent nombreux.
Distribution
- Katerine Savard (Nadia)
- Ariane Mainville (Marie-Pierre)
- Hilary Caldwell (Karen)
- Cailin McMurray (Jessica)
- Pierre-Yves Cardinal (Sébastien)
- Amélie Marcil (Massothérapeute)
Réalisation
Production
Scénarisation
studios
- Téléfilm Canada
- Nemesis Films
distributeur
- Maison 4:3
Liens
Revues de presse
Médiafilm
Celle-ci est incarnée avec naturel par la nageuse Katerine Savard, qui partage une belle complicité avec sa consoeur Ariane Mainville, elle aussi comédienne non professionnelle.
Lire la critique complèteLe Soleil
Alors que les femmes sont reléguées à l'arrière-scène médiatique des tribunes sportives, ça prenait un certain culot...
Lire la critique complèteCinéfilic
Filmée par la caméra attentive et délicate de Plante, elle vient régulièrement servir de béquille au film tout en donnant indirectement une épaisseur au personnage interprété par Savard. Elle est d'ailleurs probablement la meilleure idée du scénariste Plante. Elle est le ciment qui permet au film de tenir debout malgré ses quelques faiblesses... et qui permet à ses qualités de prendre le dessus!
Lire la critique complèteLa Presse
Dans le rôle de Nadia, Katerine Savard est d'un naturel désarmant et révèle une présence singulière devant la caméra. Elle se glisse avec une belle aisance dans la peau de cette athlète en quête d'identité.
Lire la critique complèteTon Canapé
Enfin, ce film brille sur plusieurs points relativement au scénario et à la cinématographie, malgré les instabilités dans la qualité du jeu des personnages.
Lire la critique complèteKinoCulture Montréal
La Nadia du titre est suivie d'une virgule, comme si dans cette forme de ponctuation, deux personnages distincts l'un de l'autre s'exposaient devant nous. « Butterfly » pour le 100 m papillon et dans le même temps, en dehors du jeu, la fragilité de la protagoniste, fugace comme cet insecte.
Lire la critique complèteFilms du Québec
Malgré ses failles scénaristiques, « Nadia, Butterfly » est à un voyage initiatique original et gracieux illustrant un bel exemple d'amitié et de solidarité féminine.
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