Mickey 17
v.o.a. : Mickey 17
v.o.a.s.-t.f. : Mickey 17
v.esp. : Mickey 17
L’an 2054. Dans l’espoir d’échapper à ses créanciers, Mickey Barnes s’est porté volontaire pour participer à la mission de colonisation de la planète Niflheim. Organisée par Kenneth Marshall, un politicien mégalomane, l’expédition est formée de soldats d’élite, de scientifiques et d’un individu dont l’empreinte physique et mémorielle peut être reproduite dès son décès, grâce à une technologie de pointe : Mickey. Ce dernier, qui peut être ressuscité à volonté, sert de cobaye pour affronter les dangers qui menacent les colons. Parvenu à sa 17e itération, Mickey, laissé pour mort, échappe à des créatures monstrueuses qui vivent tapies sous le couvert rocheux. Lorsqu’il rejoint enfin la base, il découvre qu’on a déjà procédé à son clonage et qu’une 18e version de lui-même a pris sa place auprès de Nasha, son amoureuse.
Distribution
- Robert Pattinson (Mickey Barnes)
- Naomi Ackie (Nasha Adjaya)
- Toni Collette (Gwen Johansen)
- Mark Ruffalo (Hieronymous Marshall)
- Steven Yeun (Berto)
- Angus Imrie (Shrimp Eyes)
Réalisation
Scénarisation
- Bong Joon-ho
- Edward Ashton (Basé sur le roman de)
Production
Studio
- Kate Street Picture Company
- Offscreen
- Plan B Entertainment
- Warner Bros.
Distributeur
- Warner Bros. Canada
Liens
Revues de presse
Médiafilm
Satire bouffonne tirée d'un roman d'Edward Ashton. Scénario échevelé comportant plus de dialogues que d'action. Réalisation vigoureuse. Jeu coloré.
Lire la critique complèteLa Presse
Le résultat, cela dit, est couci-couça. Bong Joon-ho fait toujours dans la caricature outrancière, mais Mickey 17 est particulièrement lourd et manichéen dans certaines de ses métaphores politiques.
Lire la critique complèteJournal de Montréal
Et même si le scénario part parfois (pour ne pas dire souvent) dans toutes les directions, y compris les plus déjantées et les plus inutiles, on ne peut s’empêcher d’éprouver une certaine affection pour cette œuvre qui ne ressemble à rien d’autre.
Lire la critique complèteLe Devoir
Exception faite de quelques plans très évocateurs, la mise en scène ne s’avère pas spécialement mémorable non plus. Une impression prégnante de se trouver constamment dans les quatre ou cinq mêmes décors gris n’aide pas.
Lire la critique complèteCinema Blend
Mickey 17 has some standout structural problems that make it hard to get into initially.
Lire la critique complète