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Tellement décevant....
Je suis quand même un assez grand fan de Xavier Dolan. J'ai bien aimé Momny et J'ai tué ma mère. J'ai mis pas mal de temps à écouter ce film même si le synopsis me tentait beaucoup. Malheureusement c'est le pire film que j'ai vu depuis longtemps. L'intrigue parle de l'histoire de deux garçons qu'il est temps de court-métrage. Découvre qu'ils sont en amour. À ma grande surprise, la scène du court-métrage est coupée. De plus il se passe 1h30 avant que l'on ne voit ensemble de dialogue entre les deux personnages pour ensuite se rendre à la fin qui nous dit deviner ce qui va arriver. Absolument ridicule une perte de temps inouïe. Seul. Positif le talent des acteurs et Anne Dorval.
Matthias et Maxime
Après moins de 10 minutes...STOP...Mauvais. ARTICULATION, prendre le temps de se faire entendre.
un film touchant
J'ai été très touché; Anne Dorval et Dolan, wow!
C’est pas bon
Son pire film
cest pas un bon film oui les acteur sont bon mais un film de ce genre la cest histoire qui est important
"pas d'histoire" dit-il ?
...essaye donc d'écrire un scénario et de filmer la lente progression insoupçonnée des "ravages souterrains" que cause un baiser chez deux gars, amis d'enfance, amis depuis toujours qui se croyaient destinée à une vie conjugale "à la norme" et d'être complètement troublé en perde pied...à en perde ses références sociales...et en même temps d'un désir fou d'être avec "lui"...d'être avec "l'autre" pour toujours...ah! "l'Amour" c'que c'est fou c'qu'il peut nous transformer...nous projeter ailleurs...d'accepter de TOUT nous changer..."oui ! je le veux !"
encore un fim mal critiquer québecois
Amour Doux et prude
Une Belle histoire en comblants l’amour et l’amitié sur la même piste.Belle Histoire d’amour refoulé et sincère.
P.S Concernant les angles de caméra, je trouve que cela est très bien réussi créant ainsi une émotion qui en ressort de la scène.Xavier Dolan est l’un de mes préférés.
Amour & amitié.
Il est incroyablement fort ce Xavier Dolan ! Qu’on aime ou qu’on n’aime pas son cinéma, rares sont les auteurs ayant commencé si jeune et pouvant se targuer d’une filmographie aussi riche, forte et pertinente à l’aube de leurs trente ans. Avec « Matthias & Maxime », on sent que le jeune cinéaste a voulu revenir à quelque chose de plus intime et plus simple après les déboires vécus sur la post-production de son dernier film tourné en langue anglaise (une première). Sa sortie chaotique et l’accueil mitigé qu’il a reçu avec cet essai complexe l’ont certainement guidé vers quelque chose de plus confidentiel mais pas forcément moins ambitieux. Car, dans une filmographie éclectique sur le fond malgré des thèmes récurrents, Dolan n’a connu aucune réelle fausse note. Même ce « Ma vie avec John F. Donovan », qui avait tout du film malade, était loin d’être mauvais et même plutôt plaisant. Ici, il semblerait que l’on soit devant le film de la maturité et de l’apaisement. L’œuvre d’un jeune auteur un peu fou qui s’assagit mais n’en demeure pas moins une voie unique dans le cinéma international. On retrouve tout de même sur le fond ses obsessions et sa vision tout comme certains de ses gimmicks visuels reconnaissables entre tous. On est donc en terrain connu, mais un terrain plus carré, plus sobre et tout aussi maîtrisé que dans « Juste la fin du monde », son chef-d’œuvre.
« Matthias & Maxime » dure deux heures. Deux heures que l’on ne voit pas absolument pas passer, envahis que nous sommes par un tourbillon d’émotion(s) diverses et fortes qui nous traversent et nous remuent avec justesse, entre violence et douceur. L’histoire est plutôt simple et linéaire (un baiser entre deux amis d’enfance pour un tournage amateur va perturber leur relation et les frontières entre amour et amitié) mais Dolan l’irrigue de tellement de sentiments contraires et de moments en apesanteur que cela confine au génie. Le réalisateur n’a pas son pareil pour filmer la vie dans ses moments les plus simples et à priori anodins. Il parvient à rendre des séquences tout à fait banales en moments d’anthologie où l’on peut tous se retrouver à un moment ou à un autre (la fête du départ, les confrontations mère et fils entre Max et sa mère, …). Son cinéma atteint même son apogée lors d’un moment d’intimité inattendu mais qui tombe au moment opportun entre les deux garçons. La tension érotique et la puissance des sentiments y explosent et se retrouvent à leur paroxysme. De plus cette séquence est magnifiquement filmée entre champs/contre-champs et sublime travelling sur une musique en adéquation. D’ailleurs, encore une fois chez Dolan, la bande originale est renversante (ah la musique du générique d’introduction de Dyan « Looking for knives »).
La patte Dolan, pop, nostalgique et jeune est bien présente, mais elle se fait plus discrète pour laisser s’exprimer pleinement la raison d’être du film : avant tout une belle histoire d’amitié qui ne serait se voir recouvrir de trop d'afféteries. Et « Matthias et Maxime » montre que la frontière entre celle-ci et l’amour est parfois mince et délicate. Rarement cela n’avait été montré de manière si tendre et naturelle au cinéma. Dolan transforme les moments les plus triviaux pour les rendre magiques et il parvient à capter la moindre des expressions sur les visages de ses acteurs pour la magnifier et la faire traverser l’écran. Et parfois lui-même puisqu’il se met également en scène ici. Il s’avère d’ailleurs encore une fois aussi bon devant la caméra que derrière ce petit génie. Face à lui Gabriel D’Almeida Freitas est impeccable de doute intériorisé. A eux deux ils forment un duo de cinéma sublime de complémentarité. Quant aux seconds rôles, des plus aguerris aux plus jeunes, ils constituent une distribution irréprochable. On alterne rires grâce à quelques séquences iconoclastes et des dialogues toujours aussi fournis et hauts en couleur (mais que l’on devine quelque peu improvisés) ainsi que yeux embués face à la détresse de ses deux amis perdus, qui s’aiment mais ne savent pas se le dire. Tout est d’une justesse incroyable, l’émotion nous donne des papillons dans le ventre et c’est d’une simplicité qui nous fait aimer la vie et les rapports humains. « Matthias & Maxime » pourrait se voir comme un film mineur dans la filmographie de l’auteur mais c’est tout bonnement un très grand film, beau comme peut l’être l’amitié, la vraie.
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“Veux-tu m’épouser?”
Scénario crédible mais sa mise en image est INSUPPORTABLE ! Le ¾ du temps cadrée épaule d’une caméra-épaule chambranlante à souhait et soutenue par un montage saccadé! Énervant ! Épuisant ! Et puis c’est un film québécois dans des dialogues incompréhensibles, vous savez avec « à la patate chaude dans la gueule », oui ? Par deux fois..trois fois j’ai bien failli quitter la projection tellement « agacé » par ces « patates-chaudes » de ces comédiens très alaises, très « naturels » (ouais! Un autre comme ça et je ne reviendrai plus !)
annexe
Quand Pier-Luc Funk est au piano essayant de jouer une toune classique malgré les "jacassements affolés" des "Soeurs Tchekov" (Bernard + Cadieux + Spaziani) il aurait du jouer une toune d'Aznavour "Comme ils disent"- ici une version anglo sur YouTube par un "presque" sosie de Funk= Marc Almond "What makes a man a man"
annexe II
…c’était la première fois que je voyais sur GrandÉcran le superbe Gabriel D’Almeida Freitas (Matthias)…ben trop beau…il pète l’écran à tout coup !…en plan-serré…en plan-taille…en large…il est toujours « glorieux ». J’espère qu’il ne fera JAMAIS, JAMAIS de pub de parfum, même pas avec l’écurie Chanel ! Il « EST » déjà « Un Parfum Unique » !
Joli mais...
Les images sont belles, c'est un film plus lumineux que les autres films de Xavier Dolan. Mais qu'est-ce que je retiens de ce film? Pas grand chose. Il n'y a pas d'histoire. J'ai été invitée à un party d'amis mais je ne faisais pas partie de la gang.
la repetitée de xavier dolan
je comprend que ce genre de film pogne mais quand xavier dolan refait toujours des fim qui ce ressemble la il a des limite aller pas voir ce film cest de la perte de temps