Marina
À la fin des années 40, le jeune Rocco Granata quitte l'Italie avec sa mère et sa soeur pour rejoindre son père en Belgique, où ce dernier a accepté un travail de mineur afin d'assurer la prospérité de la famille. Voyant son père se tuer à l'ouvrage pour peu de résultats depuis des années, Rocco croit pouvoir vivre selon ses propres règles et s'imposer comme accordéoniste de talent. Entre le rejet d'un père croyant que son fils devrait plutôt trouver un vrai boulot et un amour impossible avec une jeune femme promise à un bourgeois arrogant, Rocco poursuit son chemin rempli d'espoir, sans trop savoir ce qui l'attend au bout.
Distribution
Réalisation
Production
Scénarisation
studios
- Eyeworks
- Les Films du Fleuve
- Orisa Produzioni
distributeur
- AZ Films
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Revues de presse
Médiafilm
Le récit, teinté de critique sociale, n'est pas sans richesse. Mais son traitement mélodramatique et très télévisuel le rend plutôt indigeste. Face au dynamique et juste Matteo Simoni, Luigi Lo Cascio a tendance à forcer la note.
Lire la critique complèteLa Presse
Qu'on s'entende: Marina demeure un biopic. La recette est relativement standard et le film, un peu longuet. Rien pour crier à la révolution formelle.
Lire la critique complèteAgence QMI
Comme Ma vie en cinémascope, qui racontait l'histoire d'Alys Roby, Marina puise dans la thématique du courage devant l'adversité et de la force des rêves. Et, comme Ma vie en cinémascope, son intérêt – outre une simple curiosité de cinéphile - hors de son pays d'origine est limité. Marina, présenté au FFM l'an dernier, fait donc partie de ces longs métrages étrangers qu'on est bien content d'avoir vu, mais pour lequel on ne sortirait pas par une froide soirée de mars.
Lire la critique complète