Luce

Cette adaptation réussie de l'audacieuse pièce de J.C. Lee évoque, par sa complexité et sa richesse thématique, les meilleurs films des années 1970.

Luce est l'illustration d'un rêve éveillé difficile à interpréter. Lucide, passionnément exigeant.

L'habileté du récit réside dans cette capacité d'aller creuser subtilement sous les apparences à partir du moment où l'une des enseignantes de Luce soupçonne la présence de quelques zones un peu plus sombres chez l'élève. Le point de vue collectif sur un individu venu d'ailleurs peut ainsi changer rapidement si on croit -- à tort ou à raison -- qu'il ne peut plus être à la hauteur des attentes placées en lui. Que voilà un film troublant.

This provocation about an ideal student - and a disturbing essay that raises some serious red flags - packs one hell of a wallop.

In the end, you're left with a movie that doesn't quite jell but expands in the mind.

Since Wilson has apparently never seen a crime show before, she gives her evidence to the people who have very good reason to destroy it, and by extension, all her credibility.

No one gets off easy here, and no one quite gets answers, either; maybe that's the point.

However, if you're in the mood for an absorbing domestic drama that tackles some weighty subject matter, this is the film for you. It's provocative in the best way and well worth checking out.