Lightyear

Long métrage parfaitement équilibré - émotions, rires, aventure, effets spéciaux et action --, «Lightyear» surfe sur le succès des «Histoires de jouets» sans parvenir, néanmoins, à se démarquer suffisamment pour générer l'émerveillement ressenti devant chaque long métrage de la quadrilogie. 

La passion du réalisateur Angus MacLane pour les films de science-fiction est manifeste. Cela transparaît dans les nombreuses références aux classiques du genre.

Le scénario d'Angus MacLane et Jason Headley intègre... des éléments d'anticipation technologique sur les robots mais aussi sur les moeurs comme le fit entre autres la télésérie Star Trek1. Alisha, la patronne et amie de Buzz est ainsi une lesbienne ayant une famille.

Il s'agit néanmoins d'un récit d'origine assez captivant sur l'amitié et la solidarité.

Kids will love Lightyear. Adults will enjoy it. The only reason it falls short of what we've come to expect from Pixar is that they've set their own bar so damn high.

As an adventure-comedy for kids, this movie is perfectly OK -- but "perfectly OK" falls far short of what the studio (and the "Toy Story" movies) can do.

Making Buzz a real Space Ranger means he's no longer...a toy. That enlarges and diminishes him.

Perhaps the sweetest adjustment here to the familiar Toy Story Buzz is that his cornball heroic catchphrase, "To infinity and beyond," is as much a reinforcement of human connection as a rallying cry for space adventure.

While I still prefer lower-key Pixar, Lightyear is an entertaining ride that will no doubt delight lots of kids (and maybe their parents too). 

You will believe this toy can fly.