L'homme du Nord

Indie filmmaker Robert Eggers makes a play for the multiplex in his starry, bloody Viking epic.

Alexander Skarsgård and Nicole Kidman lead an intense (and often freezing) ensemble in this epic from the director of The Lighthouse and The Witch.

The Witch director Robert Eggers has vision to burn, but robs this brutal 10th-century revenge story of the tragic twist it needs to hook us emotionally.

In other words, a work of bold imagination, not another offshoot of a familiar IP. That alone deserves respect.

The Northman delivers all of the action you want from a movie like this, but Eggers also elevates it by giving it a truly original, artistic bent. This is one of the best mixings of the arthouse and blockbuster genres that I've ever seen. Trust me when I tell you, The Northman is a masterpiece.

Brutal, beautiful, and brilliant.

Le combat final nimbé du rouge des volcans et plein de bruit et de fureur nous laisse quelque peu désenchanté car il achève trop directement les circonvolutions épiques de ce drame familial et historique réécrit par Eggers et l'écrivain islandais Sjón.

La vengeance n'est pas un plat qui se mange froid dans L'homme du Nord. Elle passe plutôt par le métal chauffé ou la lave en fusion dans cette épopée viking sanglante, qui conjugue des images magnifiques à une grande brutalité.

Il est aussi quelque peu étrange que Nicole Kidman incarne la mère d'Alexander Skarsgård alors qu'elle était sa femme dans la série Big Little Lies. « L'amoureuse » du héros - Anya Taylor-Joy - a ici près de 20 ans de moins. Mais bon, c'était une époque de barbares, ça excuse tout...

Dans le rôle du guerrier du titre, brute tourmentée au coeur d'enfant, Alexander Skarsgard livre la prestation la plus renversante de sa carrière. Nicole Kidman, Anya Taylor-Joy et Bjork lui donnent la réplique avec toute l'intensité et le grain de folie nécessaires.