L'homme de la cave
v.o.f.s.-t.a. : The Man in the Basement
Simon et Hélène, un couple paisible, décident de vendre une cave qui se trouve dans leur immeuble. Rapidement, ils trouveront preneur en la personne de Jacques Fonzic, un homme qui, en apparence, semble banal, ordinaire. Celui-ci achètera la cave avec l'intention de s'y installer. Par contre, entretemps, le couple prendra la décision d'annuler la vente et les choses s'envenimeront rapidement. Jacques refuse de quitter les lieux, en plus de répandre ses idées plus qu'inquiétantes et négationnistes. Que devront faire les habitants de l'immeuble, surtout Simon et Hélène, pour se débarrasser de cet homme aux comportements de plus en plus terrifiant?
Distribution
- Denise Chalem (Nelly Sandberg)
- Victoria Eber (Justine Sandberg)
- Jonathan Zaccaï (David Sandberg)
- Bérénice Bejo (Hélène Sandberg)
- Jérémie Renier (Simon Sandberg)
- François Cluzet (Jacques Fonzic)
Scénarisation
Production
Réalisation
Distributeur
- K-Films Amérique
Studio
- Les Films des Tournelles
Revues de presse
KinoCulture Montréal
Condamnation? Allégorie d'un monde actuel? Les deux à la fois? Fort probablement, et l'immeuble en question représente autant de personnages aux idées disparates, une discordance propre à nos sociétés, notamment occidentales, où les aléas du racisme endémique se filtrent sournoisement dans note horizon incertain. Danger!
Lire la critique complèteLe Soleil
Avec L'homme de la cave, Philippe Le Guay signe un suspense aux allures de métaphore sur fond d'intolérance et de traumatismes historiques.
Lire la critique complèteLa Presse
En voulant instaurer une ambiance de thriller, Philippe Le Guay orchestre cependant un récit souvent poussif et pas très crédible. Dommage.
Lire la critique complèteMédiafilm
S'inspirant d'une histoire survenue à un couple d'amis, Philippe Le Guay signe un suspense plutôt touchant, entre hommage aux déportés et dénonciation du révisionnisme historique.
Lire la critique complètePremiere
Mais l'aspect monocolore de ses personnages, l'absence de toute ambiguïté ne permettent jamais au film de décoller. Le premier degré scolaire ne sied pas à de tels sujets.
Lire la critique complèteLe Parisien
Les ficelles employées, épaisses comme des câbles, rendent l'ensemble absolument irréaliste.
Lire la critique complèteParis Match
Malheureusement, le film ne sait pas trop sur quel pied danser, hesite entre les genres et tombe parfois dans la caricature. Forcement interessant mais inabouti.
Lire la critique complèteLa Croix
Le réalisateur s'est appuyé sur l'expérience d'amis pour réaliser un thriller au propos et aux effets trop appuyés.
Lire la critique complèteTélérama
Et François Cluzet, lui-même, en rajoute dans l'ignominie mielleuse, tête baissée et rage rentrée jusqu'à l'explosion finale -- un révisionniste, hélas, n'a pas forcément l'allure d'un taré pitoyable. Il n'empêche : Philippe Le Guay signe, ici, un film utile, miroir inversé et noir du merveilleux roman d'Émile Ajar-Romain Gary La Vie devant soi (...).
Lire la critique complèteLe Figaro
L'Homme de la cave se rebiffeSi le scénario avance en professant un didactisme un peu scolaire, ménageant un final explosif trop démonstratif (mais sacrément libérateur), L'Homme de la cave démonte avec une acuité mordante les mécanismes nauséabonds du révisionnisme.
Lire la critique complèteLe Nouvel Obs
La manière dont, dans ce film malsain tiré d'une histoire vraie, François Cluzet endosse le manteau douteux de ce personnage détestable est à la fois saisissante et déconcertante. Avec lui, l'abjection a une voix onctueuse.
Lire la critique complète20 Minutes
Servi par une distribution impeccable, L'Homme de la cave a l'intelligence de ne jamais être caricatural.
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