L'exorciste : Le croyant

The clichés of demonic possession pile up with dutiful nostalgia, but they've lost their shock value.

That watered-down version of an inspired horror theme is symptomatic of a movie that starts out full of promise but fumbles the material as the stakes get higher. It's no surprise that Believer is less terrifying than its venerable progenitor. That it's considerably less daring than a movie made half a century ago compounds the disappointment.

David Gordon Green's The Exorcist: Believer is an abysmal, dull attempt to relaunch the franchise in the 21st century.

It's the legacyquel formula, and like Halloween and Scream, it's another cinematic success... albeit an overcooked one.

Il en résulte film hybride qui hésite entre une hommage à l'oeuvre originale et une nouvelle tentative d'aborder le sujet. The Exorcist: Believer demeure néanmoins un « bon » film, ne serait-ce que par l'envoûtement discret qu'il procure même s'il ne sait pas toujours où se diriger.

Malgré une prémisse intrigante, L'exorciste : Le croyant fera perdre la foi aux plus ardents défenseurs de la célèbre saga d'horreur. Celle-ci semble officiellement condamnée à se doter de suites sans saveur et, ironiquement, sans âme.

Ressassant sans imagination les codes du genre, le réalisateur balance des images quasi subliminales et quelques effets-choc qui font à peine sourciller.