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Les voyages de Gulliver
v.o.a. : Gulliver's Travels
Après avoir copié un article paru dans un média concurrent afin de séduire sa patronne et de lui démontrer qu'il était plus qu'un simple livreur de courrier, Gulliver reçoit sa première assignation journalistique. Malheureusement, celle-ci tourne à la catastrophe lorsque le bateau sur lequel il se trouve est mystérieusement emporté au pays des lilliputiens où vivent des hommes microscopiques qui le font prisonnier. Mais après avoir démontré son courage et sauvé la princesse Mary, Gulliver devient une véritable superstar et est même nommé Général des armées royales. Blessé dans son orgueil, le Général Edwards tente alors de se venger.
Distribution
Réalisation
Scénarisation
Production
Studio
- 20th Century Fox
Distributeur
- 20th Century Fox
Revues de presse
Lecinema.ca
Au sein de cette intrigue aux faibles enjeux dramatiques et comiques, rien ne semble lever. Les effets en trois dimensions sont parmi les plus inutiles présentés sur les écrans depuis une année, alors que l'interprétation manque royalement de piquant. Lorsque monsieur énergie Jack Black semble s'ennuyer, c'est qu'il y a quelque chose qui cloche.
Lire la critique complèteCinema Blend
Gulliver's Travels, seem to start off promising and then spin horrifyingly off the rails, caught up in a bizarre premise, nonsensical story, and a genuinely unappealing star presence which results in something that would be fascinatingly strange if it weren't so damn boring.
Lire la critique complèteNational Post
True to form, this present-day version spends most of its 80 or so minutes in Lilliput, and no time with the talking equines. On the other hand, it dramatizes an apparently lost chapter where Gulliver has to fight a giant robot; I guess you can't have it both ways.
Lire la critique complèteUSA Today
Gulliver's Travels, yet another foray into unnecessary 3-D, is a rehashed mishmash of Jonathan Swift's 18th-century classic. Mostly, it's a vehicle for Jack Black's zany humor.
Lire la critique complèteLa Presse
Pourtant, bizarrement, on en ressort plutôt déçu, avec l'étrange impression d'être passé à côté de quelque chose. Devenu un simple film pour enfants truffés d'effets spéciaux, ce Gulliver vidé de sa substance brille surtout par son scénario court en bouche et sa morale à 30 sous expédiée au cours d'une scène finale chorégraphiée à la sauvette.
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