Les mots

De fait, ce n'est pas parce qu'il raconte trois niveaux de récit que le tandem propose ici une méditation profonde sur l'art, l'inspiration et la vie. Bien au contraire, chaque histoire, se révélant le faible écho de celle dans laquelle elle est imbriquée, se résume en une série de clichés sur la vie d'écrivain – ce qui a pour effet de nous faire douter grandement du talent de ceux rencontrés dans The Words.

Avec son impressionnante distribution et son scénario bien ficelé, Les mots s'impose vite comme un film qu'on ne regrette pas de voir.

The Words, malgré de belles intentions et une structure narrative plus complexe qu'anticipée, est un étrange film (semi-indépendant) dont le potentiel est plus que miné par ses émotions à l'eau de rose; un film qui ne décolle pas malgré une trame narrative couvrant réalité et fiction, lesquelles s'imbriquent l'une dans l'autre presque ad infinitum, et qui demeure étrangement vide et démuni de vraies émotions.

The Words is the type of film that's easy to nitpick. It's the type that can be cast off for plenty of little errors and poor decisions, but no matter how many times it gets lost, it never loses its momentum or intrigue. A shallow good time is still a good time.

The cast works hard to elevate THE WORDS; Cooper is definitely a strong screen presence, although sometimes all he's asked to do is stand there and stare meaningfully at somebody or something. Jeremy Irons can play a sly old dog as well as anybody, and the film is at its best when he's around.

As the tale unwinds, dialogue is clichéd, the musical score overpowers, and moments meant to be surprises are either telegraphed or overplayed, as if the filmmakers didn't trust the audience to get it.

The Words is a clever, entertaining yarn that doesn't bear close scrutiny. Even superficial examination of this film reveals myriad flaws, despite a compelling performance by Jeremy Irons as a fictional writer in a book also called The Words.

On aurait pu s'attendre à une plongée en apnée dans les mystères de la création artistique, mais les auteurs s'en sont plutôt tenus à un récit anecdotique, qui mêle la réalité, la fiction et les époques. L'ensemble, pour alambiqué qu'il soit parfois, se regarde quand même aisément.