Les heures de gloire

Cette épopée d'un jour semble avoir été pensée à l'époque de son action. C'est dire le déficit d'idées neuves dont elle fait preuve, sous couvert d'une approche admirativement vieille école et capraesque, visible jusque dans sa direction artistique rappelant la grande époque des studios à l'aube de la couleur. 

Whether or not the film is faithful to the true events of this 1950s Coast Guard rescue, it doesn't tell the story in a captivating or convincing way.

However, I cannot in good conscience fully recommend seeing it because of a presentation issue that renders the film virtually unwatchable for long stretches.

The Disney real life adventure, The Finest Hours, is a compelling ride.

Some strong action at sea keeps this based-on-a-true-story tale afloat.

(...) but the accomplished cinematographer Javier Aguirresarobe (The Others) conveys the characters' intense vulnerability in the snow-laden shoreline, the turbulent waves and especially in his long views of the two crafts on the dark Atlantic.

A perfectly entertaining, sometimes quite well-crafted disaster drama that nonetheless retreats from the memory almost as soon as the credits roll.

It doesn't all hang together as a film, with some buttons pressed too hard (and others too softly), but it succeeds as a compelling drama, telling a story that's worth telling.

L'environnement sonore des bruits de vagues, de boulons qui sautent et autres craquements est bien marié avec les effets spéciaux numériques pour des séquences de montagnes russes maritimes. Un lieu et une histoire sont ainsi recréés avec aplomb dans un drame maritime mieux filmé que le dernier Ron Howard.

Le film avait tout pour être un captivant film d'action d'1h30. Il n'est au final qu'un piètre mélo de 2h. Dommage!

Par contre, toutes les scènes qui se déroulent sur terre sont inutiles. Impossible, donc, de se sentir partie prenante de ces Heures de gloire bien mal rythmé.

Il y a quelque chose de volontairement «vieille école» dans The Finest Hours de Craig Gillespie (Million Dollar Arm). Dans le jeu des acteurs, dans la trame narrative, dans une totale absence de cynisme, pleinement assumée et présentée de front.