Rédiger une critique
Vous devez être connecté pour pouvoir rédiger une critique.
un film décevant
Autobiographie de Steven Spielberg fait par Steven Spielberg , ou on comprends son amour du cinéma dès le visionnement de son premier film en 1952 et grâce à sa mère ,l'artiste de la famille, il a suivi ses rêves car son père scientifique le voyait plutôt suivre ses traces en allant à l'université. Une mère dont il parle abondamment et même trop à mon gout. Donc , un film un peu long pour si peu de de contenu. Je donne 6/10 à ce grand réalisateur.
Pour les amateurs de cinéma
Belle histoire et malgré quelques longueurs, j'ai passé un très bon moment. Vaut la peine d'être vu
le parcours d `un grand réalisateur
Un film touchant sur une partie de la vie du réalisateur Steven Spielberg de sa jeunesse jusqu`à son début en tant que réalisateur. Bonne performance de tous les acteurs en particulier pour l`actrice Michelle Williams dans le rôle de sa mère.Une belle trame musicale qui accompagne les moments forts du film. Un film à voir pour les passionnés de cinéma.
Quelle magnifique histoire!
Même si le film dure 2h.30, on ne s'ennuie pas une seconde. A revoir.
Pour le meilleur et pour le pire
Il y a deux volets à The Fabelman's. La première est un hommage au cinéma tout simplement fabuleux. Que ce soit en tant que spectateur ou créateur, Spielberg sait rendre la magie du septième art, nous sommes émerveillés par son inventivité et l'émotion qui transpire de l'écran. Mais comme dans sa filmographie, le réalisateur peine à mettre en scène la vie ordinaire, tout devient plus didactique, les personnages s'expliquent de long en large et le montage serré des moments magiques se relâche pour faire place aux dialogues appuyés. Heureusement, Michelle William brille dans le rôle de la mère. Malgré ses défauts, le film de Spielberg est une classe de maître qu'aucun cinéphile ne voudra manquer.
Spielberg Childhood.
On aurait aimé l’aimer encore plus le dernier film de Steven Spielberg. Parce que c’est certainement son film le plus personnel à ce jour, celui d’un artiste parmi les plus célèbres et méritoires du septième art qui, sentant le crépuscule de sa vie arriver, a voulu partager avec le monde et sans prétention un film qui le résume. Une œuvre autobiographique donc où le cinéaste a mis beaucoup de lui et de sa science intacte du cinéma pour nous faire partager la naissance de cette passion et une partie de son enfance et de son adolescence. « The Fabelman » peut donc se voir comme une œuvre somme, le testament d’une carrière auréolée d’une pluie de récompenses et constituée de nombreuses œuvres majeures qui ont marqué l’Histoire et le box-office entre blockbusters (« Jurassic Park », « La Guerre des mondes », ...) et films plus sérieux (« Munich », « La Liste de Schindler », ...) voire même le mélange des deux comme avec « Il faut sauver le soldat Ryan ».
Grâce à « The Fabelmans », on comprend certaines de ses obsessions et ce qui a mené Spielberg à faire tel ou tel film de telle ou telle façon. C’est donc intéressant à mettre en perspective mais on pensait être davantage touché, davantage émerveillé. Malheureusement, le long-métrage est parfois un peu long et certains passages semblent de trop comme si le maître avait eu plus de mal à couper au montage une histoire qui lui tenait tant à cœur. Néanmoins, la magie de son cinéma reste intacte sur le plan technique où rien ne dépasse et où tout frôle la perfection. Mais le contraire eut été étonnant vu le CV du monsieur. De la reconstitution de l’époque aux films tournés avec les moyens d’antan et retranscrits ici tel quel en passant par les décors, les costumes et les plans confectionnés par Spielberg, tout est parfaitement à sa place.
Et puis le film peut compter sur l’impeccable composition de Michelle Williams qui est le cœur vivant de « The Fabelmans ». Dans le rôle de la mère elle illumine le film et lui donne ses plus beaux moments d’émotion. On pense à la scène où le jeune Spielberg, joué par le tout aussi fantastique Gabriel LaBelle, lui montre le film de vacances tourné par ses soins et qui lui a révélé l’adultère de sa maman. Une scène juste et poignante, en un mot : belle. On prend aussi plaisir à voir l’imagination du jeune homme pour tourner ses productions amateures ou encore l’antisémitisme dont il a été victime à l’école tout comme les déracinements perpétuels dus au métier du paternel. C’est donc une œuvre riche et ambitieuse même si elle reste plus confidentielle et personnelle que le reste de sa filmographie. Une œuvre qui reste plaisante, bien écrite et réalisée mais à laquelle il manque un peu de la passion que le cinéaste a voulu nous faire partager. Mais pour tout fan de cinéma qui se respecte, cela reste une expérience à ne pas louper. Pour les autres ou ceux qui ne sont pas spécialement fans du réalisateur, cela pourra être moins engageant.
Plus de critiques cinéma sur ma page Facebook Ciné Ma Passion.