Les détraqués
v.o.a. : The Crazies
David Button est le shérif d'une petite ville fermière de l'Iowa. Un jour, il est forcé d'abattre un homme armé qui s'avance vers lui, le regard vide, sur un terrain de baseball. La vie continue, mais David est rapidement confronté à d'autres situations tout aussi étranges, qui le laissent également perplexe. Il tente comme il le peut de reprendre en main le cours des événements, mais rapidement, les choses dérapent totalement. Les uns à la suite des autres, les habitants de la ville sombrent dans une folie terrifiante. Plus question de tenter de régler les choses, maintenant, il faut tenter de survivre...
Réalisation
Production
Scénarisation
studio
- Overture Films
distributeur
- Alliance Vivafilm
Revues de presse
Médiafilm
En dépit d'une distribution de qualité et d'une réalisation nettement au dessus de la moyenne du genre, cette resucée d'une série B de George A. Romero datant de 1973 ne tient pas ses promesses.
Lire la critique complèteCinema Blend
Every time the movie threatens to undo all its good work, by over-relying on scaring the audience by having the lead characters startle one another, or repeating the same gag a few too many times, the emotional and psychological underpinnings of the story come back to save it.
Lire la critique complèteVoir
Dans les rôles principaux, Timothy Olyphant et Radha Mitchell peinent à rendre leurs personnages le moindrement intéressants alors que, derrière la caméra, Eisner se rabat à répétition sur les effets-chocs les plus convenus et prévisibles.
Lire la critique complèteLecinema.ca
La production n'arrive pas à se détacher du peloton pour différentes raisons. La trame narrative, évidemment. Mais également la réalisation qui manque parfois de finition et de vision, recyclant au lieu de proposer quelque chose de nouveau.
Lire la critique complèteLa Presse
Ce remake, approuvé par Romero lui-même, ici producteur délégué, n'est pas un flop ni une caricature cheap du modèle, mais il lui manque cette énergie créatrice, cette fougue déployée en désespoir de cause par Big George.
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