Le vrai du faux
v.o.f.s.-t.a. : Real Lies
Marco Valois est le célèbre réalisateur des films Furie, deux longs métrages d'action québécois appréciés du grand public. Suite au décès d'un admirateur, il décide de prendre une année sabbatique afin de se ressourcer. Bientôt, il s'intéresse à l'histoire d'un soldat rentré d'Afghanistan, Éric, victime d'un grave choc post-traumatique. Valois le choisit comme sujet de son prochain film, malgré les réticences de la psychologue du soldat, Rachel. Éric hésite à révéler ses secrets mais accepte de participer au projet de Marco. L'amitié des deux hommes est constamment menacée, surtout lorsque Éric essaie de reconquérir son ancienne blonde dans sa ville natale, où vivent encore ses parents.
Distribution
Réalisation
Production
Scénarisation
studio
- Cinémaginaire inc.
distributeur
- Les Films Séville
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Revues de presse
Médiafilm
Ce qui explique la construction laborieuse, en dents de scie, de cette fable où l'humour manque d'impertinence et d'éclat, le drame, de profondeur et de catharsis.
Martin Bilodeau Lire la critique complèteLe Soleil
Mais ça ne fonctionne pas. Mathieu Quesnel, avec son jeu intense et mesuré, qui fait toute la crédibilité d'Éric, rend d'autant plus évidentes les grosses lacunes d'acteur dramatique de Stéphane Rousseau.
Éric Moreault Lire la critique complèteSéquences
Si le réalisateur tente de juxtaposer le drame et la comédie en essayant de les réinventer, des problèmes d'écriture et des imperfections dans le ton ne font que les éloigner l'un de l'autre.
Élie Castiel Lire la critique complèteVoir
Le réalisateur s'efface au maximum pour ne montrer que l'histoire de ces comédiens, et ils la portent avec merveille.
Joseph Elfassi Lire la critique complèteFilms du Québec
Porté à bouts de bras par une brochette de comédiens aux indéniables talents d'improvisateurs, Le vrai du faux se contente donc d'exposer un sujet manquant grandement d'intérêt et des personnages dont la profondeur ne se mesure qu'à la vigueur de leurs tirades comiques.
Charles-Henri Ramond Lire la critique complèteAgence QMI
Le reste baigne dans la sur simplification, amplifiée par les répliques « psychologie populaire » de Julie Le Breton, dont le personnage est, de surcroît, un peu trop alarmiste pour que le tout se tienne.
Isabelle Hontebeyrie Lire la critique complètePanorama-Cinéma
Mais si Le vrai du faux met certainement le doigt sur un bobo que nous pouvons difficilement nier ou ignorer, l'essai finit malheureusement par s'égarer à l'intérieur de ses propres obligations de divertissement grand public, prenant ici la forme d'une suite de séquences routinières et maladroites ne possédant pas le souffle nécessaire pour supporter - et enrichir - les ambitions du duo.
Jean-François Vandeuren Lire la critique complèteLa Presse
On aura ainsi du mal à souscrire à la démarche d'un cinéaste - on parle de Valois ici - qui n'hésite pas à s'immiscer complètement dans la vie d'un inconnu très perturbé dans l'unique but de vampiriser son histoire pour en faire un film. Bien sûr, là est l'enjeu du récit. Mais c'est un peu gros.
Marc-André Lussier Lire la critique complète