Le temps qu'il reste
v.o.inter.s.-t.a. : The Time That Remains
1948. L'armée israélienne exerce une pression considérable sur la population palestinienne. Quelques résistants de Nazareth cherchent à renverser la vapeur. Même s'il est fait prisonnier, Fuad Suleiman arrive à s'en sortir vivant. Les années passent et le jeune homme a maintenant une femme et un fils, Elia. Entre les séances de pêche entre amis et la routine de toujours se porter à la rescousse d'un voisin suicidaire, les problèmes ne tardent pas à survenir. En grandissant, Elia n'est pas insensible aux luttes jadis menées par son père, et après avoir quitté le pays pour sa propre sécurité, il décide d'y retourner.
Distribution
Réalisation
Production
Scénarisation
Studio
- Nazira Films
- The Film
- France 3 Cinéma
Distributeur
- Les Films Séville
Images
Revues de presse
Médiafilm
Le choc de ces deux sensibilités provoque toutefois une impression de déséquilibre. La mise en scène se révèle toutefois fort réfléchie. D'une présence indéniable à l'écran, les interprètes, dont l'auteur, offrent un jeu détaché d'une étonnante unité.
Lire la critique complèteLecinema.ca
Le résultat n'est rien de moins que surprenant. Au lieu de se perdre dans l'anecdote historique, le cinéaste célèbre l'âme de ses personnages avec vivacité et courage.
Lire la critique complèteLa Presse
La démarche chaplinienne de Suleiman, formidable pince-sans-rire dans un nouveau rôle muet, et les brillants tableaux drolatiques de son film - il franchit le mur de sécurité en faisant un saut à la perche - ne sauraient toutefois faire oublier que derrière la comédie absurde se cache un drame absurde.
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