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Tout le monde avait hâte de sortir
Navet en terme d'histoire, mais les effets spéciaux sont de mieux en mieux. Pire scénariste et pire réalisation. Beaucoup moins intelligent que les autres.
Un trés bon film de science fiction émouvant .
Il n' y a pas beaucoup d' actions , mais quand il y a de l' action , c' est vraiment spectaculaire et impressionnant , et il y a un peu de suspens .
Par contre , c' est un trés bon film de science fiction émouvant , avec une superbe histoire , beaucoup d' émotions intenses et beaucoup de tensions psychologiques .
un film raté
Rien de mieux en une journée nuageuse et pluvieuse que d'aller au cinoche...Par contre pour une fan de la série comme moi, on repassera!! car ce nouveau film est pour le moins long et ennuyant sauf les 30 dernières minutes ou l'action a décidé de s'inviter. Résumé; Plusieurs générations après la mort de César, des singes qui cherchent le pouvoir brulent les clans et essaient d'ouvrir un ancien bunker plein d'armes ,fait par des humains ,pour devenir tout puissants. Noa ,quand son père est tué ,veut venger sa mort et en route il rencontre Nova ,une humaine, avec qui il tentera de mettre fin au régime de terreur du nouveau chef qui se fait appeler César. Je donne 4/10 à ce film .
Déçu
Perte de temps
a voir
a voir sur grand ecran
Pour être franc, je me suis un peu emmerdé. Techniquement, c’est époustouflant. Le film mérite d’être vu au cinéma pour l’expérience visuelle et sonore qu’il nous offre. Mais ce nouvel opus a perdu l’essence de la première trilogie. César portait le poids de son peuple sur ses épaules, il devait les amener au prochain stade de l’évolution et cette charge mentale était le fil conducteur des trois épisodes, offrant aux spectateurs un niveau de lecture assez inusité pour des blockbusters d’été.
Ici, on revient à la quête traditionnelle du héros, entre vengeance et désir de retrouver les siens. Il y a bien le personnage de Raka l’orang-outang qui s’efforce de répandre les enseignements oubliés de César, mais il demeure trop secondaire. Des indices laissent croire que Noa lui succédera en tant que prophète, c’est casse-gueule, on verra. Pour l’heure on mise à fond sur des méchants très méchants et des gentils très gentils. Formule gagnante, certes, à laquelle la franchise échappait jusqu’ici et c’est précisément la raison pour laquelle on l’aimait. Oui les effets spéciaux, oui les combats spectaculaires dans un monde réensauvagé, mais le coeur de la franchise n’y est plus.
Sans rien spoiler, la fin annonce une suite où la technologie sera un enjeu majeur. Prémisse intéressante à condition que le film pose davantage des questions éthiques et philosophiques au lieu de se rabattre sur des quêtes simplistes. C’est la seule manière de renouer avec l’intelligence de la franchise.
Très beau film d'aventure avec de belles scènes d'actions. L'histoire n'est pas une surprise mais le film nous offre un bon moment. Bien hâte de voir s'il y aura une suite car il a matière à approfondir l'intrigue. À voir au cinéma en XPX c'est un must, de magnifiques paysages, de beaux personnages, un bon film.
Épopée post-post apocalyptique
Le royaume de la planète des singes est un magnifique film d'aventure pour petits et grands qui ficèle habilement un scénario simple et captivant tout en évitant les miévreries. Le tout regorge de belles idées et de scènes d'action réussies. Même si la surprise n'est plus au rendez-vous, ce nouvel opus tient ses promesses et reflète un travail passioné, méticuleux et soucieux de livrer un spectacle sains et intelligent pour tous. Ce film est surement le premier d'une nouvelle trilogie puisqu'il s'annonce en fait comme le prologue d'une grande histoire, une mise en place contemplative et condensée de notre histoire à cette époque pour batîr les fondations d'une nouvelle saga dure et dramatique. À voir sur grand écran. Bon film!
Bon scénario mais les scènes d'action sont trop sombres, on ne voit rien
Le scénario est bon. Cependant, le film a beaucoup de longueurs et la majorité des scènes d'action se passent en pleine nuit et on ne voit pas grand chose
Primates (et SFX) en force.
C’est bien connu à Hollywood : quand il n’y en a (normalement) plus, il y en a encore! Et les sagas et films inspirées du célèbre roman de Pierre Boule mettant en scène des singes maîtres de la Terre ne dérogent pas à la règle. La dernière trilogie simiesque initiée par Rupert Wyatt et continuée par Matt Reeves (« The Batman ») faisait scission avec tous les films précédents (de ceux de Franklin Schaffner à celui de Burton) en repartant (donc en inventant) les origines de « La Planète des singes ». Ces films, qui n’avaient pas à rougir des anciens, s’avéraient particulièrement réussis et impressionnants. Ce nouveau chapitre est bien une suite de ladite trilogie mais une suite lointaine. À ne pas confondre avec une suite tardive, comme lorsqu’une séquelle débarque un très long laps de temps après l’original ou le dernier épisode (« Blade Runner 2049 » par exemple). En effet, le film se déroule plus de trois siècles après les événements du dernier mettant en scène César. Et, dans la même lignée, ce nouvel opus se révèle être un excellent blockbuster captivant et très qualitatif qui rebat habilement les cartes pour ne pas sombrer dans la redite.
Cette fois, le combat ente les humains et les sages est très loin et la dynamique de domination s’est inversée : les singes règnent sur le monde, les humains restants se cachant au sein de quelques tribus primitives dénuées de parole. Cette inversion des pôles redonne un nouvel élan à la saga et permet d’insérer des thématiques assez sérieuses une nouvelle fois. Même si ce n’est pas au cœur du film, le spectacle passant avant le reste, on effleure des sujets comme le racisme (les singes masqués font forcément penser au Klu Klux Klan), la religion (le besoin de croire en quelque chose de plus grand) et la politique (l’instrumentalisation malsaine d’un héros ou de valeurs à des fins totalitaires fait clairement penser à Trump). « Le Royaume de la Planète des singes » est donc un blockbuster intelligent qui amène des réflexions. Le scénario est bien écrit et ménage autant de scènes musclées et spectaculaires, remplissant le contrat de grand film d’aventures mâtiné de science-fiction apocalyptique, que de scènes plus posées permettant aux personnages d’exister ou aux incroyables décors propres au genre de se dévoiler sous nos yeux (et on n’en avait pas vu de si beaux de puis la série « The Last of Us »).
D’ailleurs, la trilogie précédente nous scotchait déjà avec ses effets spéciaux incroyables mais ce nouveau film pousse encore plus loin le curseur du réalisme et de la perfection. La technique utilisée pour animer ses singes est encore plus pointue autorisant des expressions faciales avec un rendu d’un réalisme bluffant. On sent presque le regard des acteurs derrière les singes un peu comme dans « Avatar ». Et comme cet épisode n’a que deux (très bons) acteurs humains (Freya Allan et le toujours génial William H. Macy) il fallait mieux que ce détail soit honoré! Quant au choix de Wes Ball pour remplacer Matt Reeves, il semble être une évidence. Réalisateur de la meilleure saga young adult qui soit (la déjà dystopique et apocalyptique « Le Labyrinthe), il est comme un poisson dans l’eau ici et nous offre une mise en scène ample et aérée, conforme à ce que l’on attendait de lui. La fin augure, en outre, d’une suite qui met l’eau à la bouche. « Le Royaume de la Planète des singes » est donc dans la même veine que les précédents avec plus de singes, des effets encore plus dingues, des personnages attachants et une certaine envie d’éviter la rengaine qui nous amène des surprises. Juste qu’on aurait aimé être encore plus surpris mais c’est déjà beaucoup.
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