Le rire
v.o.f.s.-t.a. : Le rire
Il y a huit ans, une sanglante guerre a secoué le Québec. C'est là que Valérie a vu mourir son amoureux. Même si elle semble maintenant heureuse et qu'elle est en couple avec un nouvel homme, son passé revient périodiquement la hanter, prenant la forme de cauchemars et d'hallucinations. Elle travaille comme préposée aux bénéficiaires dans un CHSLD, où elle s'est liée d'amitié avec une vieille femme aux opinions tranchées. Survivant par le rire, Valérie sera peu à peu amenée à se replonger dans ses souvenirs, à confronter ses traumas d'hier et ceux d'aujourd'hui.
Distribution
- Léane Labrèche-Dor (Valérie)
- Micheline Lanctôt (Jeanne)
- Alexandre Landry (Gabriel)
- Sylvie Drapeau (La Présidente)
- Jean-Sébastien Courchesne (Samuel)
- Catherine Proulx-Lemay (L'Amie)
- Normand Daoust (Le Soldat)
Réalisation
Production
Scénarisation
studio
- La Boîte à Fanny
distributeur
- Maison 4:3
Liens
Revues de presse
Médiafilm
À ses côtés, Micheline Lanctôt amuse en vieille sage érudite, au mauvais caractère assumé, et Normand Daoust est fort émouvant dans une séquence d'une poignante humanité. En figure allégorique ambiguë, Sylvie Drapeau fait contraste par son jeu glaçant.
Lire la critique complèteLa Presse
Qu'est-ce qui cloche alors ? Tout. Un scénario qui manque cruellement de profondeur, des dialogues inégaux, une mise en scène tellement éclatée qu'on s'y perd. En fin de compte, on reste avec le sentiment très fort de n'avoir pas cru une seconde à ce récit.
Lire la critique complèteCinéfilic
Il a essayé quelque chose d'ambitieux. Il est passé à côté. Nous n'avons qu'une envie : attendre son prochain film, en espérant qu'il retrouve ce qui faisait de lui le réalisateur québécois de films fauchés le plus indispensable de ces dernières années.
Lire la critique complèteFilms du Québec
Confirmation du désir du cinéaste de nous entraîner dans des récits inusités et audacieux. Une petite touche de simplicité n'aurait pas été superflue.
Lire la critique complèteCinémaniak.net
Martin Laroche, scénariste et réalisateur de cet inoubliable long-métrage, réussit un tour de force assez surprenant en orchestrant ce mariage entre surréalisme omniprésent et réflexion bouleversante sur l'épreuve du temps, sur les empreintes laissées par un passé marqué par la tragédie.
Lire la critique complète