Henri Henri
v.o.f.s.-t.a. : Henri Henri
Henri a été élevé par des religieuses dans un couvent. Il habitait avec elles jusqu'à ce que les femmes, devenues vieilles, déménagent, le laissant seul derrière. Henri est relampeur. Depuis son tout jeune âge, il remplace les ampoules brûlées et met ainsi de la lumière dans la vie des gens. Après avoir suivi les signes, il se retrouve à travailler pour un commerce de lampes. Dans le cadre de son nouvel emploi, il rencontre un vieil homme qui s'efforce de ne pas oublier sa gloire passée et une jeune aveugle, guichetière dans un cinéma pour adultes, dont il tombe follement amoureux.
Distribution
Réalisation
Production
Scénarisation
studios
- Christal Films
- Gaëa Films
distributeur
- Les Films Séville
Revues de presse
Médiafilm
L'intrigue manque parfois d'élan ou de vigueur, mais la sincérité et la générosité du coeur compensent.
Martin Bilodeau Lire la critique complèteAgence QMI
Henri Henri est une excellente surprise malgré quelques maladresses (trop de jeux de mots, dénouement ultime prévisible, certains personnages sont superflus, etc.) et j’ai bien hâte de voir ce que Martin Talbot ira imaginer comme intrigue pour son prochain long métrage.
Isabelle Hontebeyrie Lire la critique complèteLe Soleil
Henri Henri est enveloppé d'une certaine nostalgie d'une époque révolue, ce qui peut s'avérer agaçant. Il faut aussi être prêt à accepter la proposition, un peu bancale. La fantaisie permet bien des libertés dans le récit, mais Talbot tire parfois un peu trop l'élastique.
Éric Moreault Lire la critique complèteFilms du Québec
Ajoutez l'extrême lenteur du scénario et plusieurs moments creux et vous aurez un film - une bonne idée pourtant - dont on ne parvient jamais à pénétrer les mystères.
Charles-Henri Ramond Lire la critique complèteSéquences
Par son manque de rythme imposé par une mise en scène trop lente, le montage se traîne les pieds et on s'enquiert, comme la célèbre metteure en scène québécoise, « À quelle heure, le punch ? ».
Patricia Robin Lire la critique complèteLa Presse
Au-delà de ce qu'on peut appeler un feel-good movie, Martin Talbot a su évoquer avec maîtrise quelques éléments dramatiques. On pense notamment au thème de la solitude qui traverse le film de part en part.
André Duchesne Lire la critique complèteCinémaniak.net
Par son manque de rythme imposé par une mise en scène trop lente, le montage se traîne les pieds et on s'enquiert, comme la célèbre metteure en scène québécoise, « À quelle heure, le punch ? ».
Syril Tiar Lire la critique complète