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Images magnifiques et ????
Des images superbes...et on cherche encore le fin fond de l'histoire....quelle histoire? la chute lente dans les bas fonds d'une grave dépression, une brève rencontre "presque" passionnée, le super mec cool qui joue "presque" tous les sports, chante à la chorale, travaille avec ardeur, rencontre et fume et bois avec sa petite gang, sans enfants bien sur...Le film me fait penser à autant de petites ruelles qui se terminent par un cul de sac. Je trouve qu'Arcand avait une idée très éloignée du mot passion et que son architecte Luc Sauvageau faisait plus torontois que la belle en question...Le non-dit dans ce film semble cacher une absence d'histoire...comme si Arcand était parti en vacances en plein tournage et qu'il avait laissé à d'autres le soin de recoller les morceaux coupés d'un film incomplet.... Dommage.....je cherche encore la conclusion...mais peut on conclure une histoire qui n'a pas démarré?
Générique intéressant (j'ai bien aimé les doublures des corps des amants....)
Canard illimité fait de meilleur film
Vraiment la plus grande déception que j'ai eu au cinéma. Visiblement je n'ai pas les même goûts que Arcand. Mettre le nom de Denis Tremblay a la place de Denis Arcand et aucune salle aurais acheter ça. Ce film pollue le cinéma québécois.
Un film d'une grande beauté
L'histoire, les images, les personnages et les lieux choisis sont d'une grande beauté. Un film très sensible touchant la vraie vie tel l'amour, les déceptions, l'amitié et la dépression. Très beau film de Denis Arcand mais moins percutant que ¨Déclin de l'empire américain ou Des invasions barbares¨
le regne de la beauté
très beau film .A voir ! D,une sensibilité et des images extraordinaires
Une beauté omniprésente
Une belle histoire sincère dans ce nouveau drame romantique de Denys Arcand, où la beauté est omniprésente, que ce soit dans les paysages du Québec, dans les scènes érotiques ou dans l’architecture... C’était la Grande Première : l’équipe du film était présente. Une très belle soirée ! Merci Cinoche.com
"Délicatesse" Nordique
Arcand m a tapé sur les nerfs, ici !
(et réjouis)
« Tout »…est délicat.
Les personnages sont «délicats » entre eux.
Bien « éduqués ». Très « civilisés ».
De « bonnes manières ».
La fragilité des êtres est égale à la splendeur de la nature…Elle peut « craquer » n’importe quand !
Même sa construction cinématographique est « délicate », Jamais de mouvements de caméra saccadés, brusques…Des plans fixes.
Pas besoins de gadgets époustouflants
Des personnages comme vous et moi
Suis-je en Suède ?...en Norvège ?
Est-ce ça le « bonheur » ???
Le Bleu de tes Yeux
En hiver, à la patinoire…
Quelle superbe scène en Charlevoix
« Il patinait »…seul…s’élençant…
Son amie arrive en auto le rejoindre
La scène se passe près de la bande
Et là…paf ! Le plan sur Marie-Josée Croze
est tout à fait « saisissant » !
Le Bleu de ses yeux,
ce foulard bleuté autour de son cou,
la fourrure autour de son capuchon…
Ah! Quelle « Splendeur » dans le regard
de cette comédienne, non ???
Annexa Nordica
Lui, Luc (Éric Bruneau)
(d’aplomb et TRÈS bien interprété)
n’a rien d’un « Marcelo Mastroianni » ici,
plutôt un gars ordinaire, sans charisme renversant;
Elle, la fille de TOTO, sans charisme itou,
par contre très loin de la vulgarité à la Sharon Stone,
une « ordinaire » High-diplôma comme tant d’autres dans son registre;
un « casting » de choix pour représenter le couple
« one-night-stand » des voyages d’affaires ?
Elle serait même prête à divorcer (pour lui)
(Mais pas lui…)
Excusez moi Mister Arcand mais…
c’est la première fois que je remarque
« l’extraordinaire » VOLUME utilisé du « non dit »
dans un de vos films…tout est là…plein l’écran…
toujours…jusqu’à la fin…avons-nous déjà oublié
ce « langage », ce « phrasé » de l’esprit ?
Encore une fois vous jouez de nous très bien
GROS Merci !
Poésie et beauté
La magie a fonctionné. Les mises en situation sont originales et elles se développent parfois très rapidement, mais toujours avec une certaine douceur. Elles peuvent aussi être interprétées de plusieurs façons.
Ce n'est pas toujours simple de nuancer nos propres valeurs pour comprendre ce qu'est l'atteinte du bonheur, de l'amour et de la beauté.
Je n'étais pas prêt pour la conclusion.
Le générique de fin était une idée risquée. Je l'ai regardé au complet. Il m'a permis de réfléchir sur le vrai sens de l'amour et de me dire que la beauté est dans les détails. Elle est parfois complexe et parfois elle est simple.
Il y a beaucoup de scènes de nudité dans ce film, mais elles sont toutes opportunes.
beauté & poésie
Je n’ai pas vu encore (…ni le film ni la beauté (du monde)).
La première chose qui m’est venue à l’esprit en lisant le résumé (dans cinoche)…mais Quel étrange « ressemblance » avec le film de Louis Malle « Damage » en 1992, non ???
…la « passion démesurée » de Jeremy Irons pour Juliette Binoche serait-elle si « différente » chez Mister Arcand ?
Est-ce un « déjà vu » que Cannes rejette du revers de la main ?
DÉCEVANT
D'UNE TRISTESSE, VIDE D'UN SCÉNARIO, QUEL SCÉNARIO? LE TITRE AURAIS PU ÊTRE
VISITE DANS CHALEVOIX...TRÈS BELLES IMAGES...
DIRECTION D'ACTEURS ??
Grande déeption
Le règne de la beauté de Denis Arcand: une franche déception.
Superficiel, long (même s'il ne dure qu'une heure quarante) et sans substance, on dirait bien que M. Arcand a dit tout ce qu'il avait à dire....
Ce film se résume à de belles images vides, une histoire morcelée, dont les morceaux pendouillent lamentablement sans se rattacher les uns aux autres. J'Irais même jusqu'à dire que ça ressemble à du mauvais film d'auteur. En fait c'est comme s'il avait voulu faire un documentaire sur la région de Charlevoix et un documentaire sur son architecte préféré, ce qui nous donne un film bâclé au niveau du scénario, des textes sans substance et un jeu d'acteurs somme toute passable. Quand on vient me dire que c'est un prélude au "Déclin de l'empire américain" j'ai une bulle au cerveau !
De plus une première au théâtre Maisonneuve de la place des Arts (parce que c'était donc mieux pour le grandiose du tapis rouge et du gratin qui voulait tant s'auto-congratuler) n'aide en rien la bande sonore du film. L'Impérial eut été un bien meilleur choix.
Bref, allez-y si vous voulez encourager le cinéma québécois, et vous en ressortirez surement en vous disant encore une fois que la prochaine fois ,ben vous irez voir autre chose....
Petit rappel de base: ça prends trois choses pour faire un bon film, un bon scénario, un bon scénario et un bon scénario. J'espère qu'Arcand s'en rappellera lors de son prochain film....