Le règne de la beauté
v.o.f.s.-t.a. : An Eye for Beauty
Alors qu'il est honoré à Paris pour sa carrière d'architecte, Luc rencontre par hasard une femme qu'il a connue jadis, Lindsay, rencontrée alors qu'il était de passage à Toronto pour participer à un jury. Il se remémore leur histoire d'amour fulgurante vécue sur deux nuits et la vie qu'il menait à l'époque auprès de ses amis et de son épouse, Stéphanie, dans leur maison de Charlevoix. Une vie faite d'activités sportives, de villégiature, de chasse, de travail, et marquée par la sévère dépression qui a frappé Stéphanie, cette dernière s'étant même amourachée de Mélissa, la conjointe d'Isabelle, une amie du couple, médecin dans la région.
Distribution
Réalisation
Production
Scénarisation
studio
- Cinémaginaire inc.
distributeur
- Les Films Séville
Revues de presse
Médiafilm
Hélas, toute cette contemplation esthétique est au service d'un scénario d'une étonnante vacuité, sans véritable enjeu dramatique, malgré quelques pistes prometteuses, sur la culpabilité, la santé mentale et les soins de fin de vie.
Louis-Paul Rioux Lire la critique complèteLa Presse
Même s'il frôle parfois le sublime sur le plan visuel, Le règne de la beauté reste plutôt vide de substance. Peut-être est-ce l'injuste malédiction face à laquelle les grands artistes sont confrontés, mais il est clair que d'un cinéaste de la trempe de Denys Arcand, on attend davantage qu'un beau livre d'images à saveur touristique.
Marc-André Lussier Lire la critique complèteCinéfilic
Le film complet sera malheureusement habité de ce genre de scènes dont on comprend les intentions narratives mais qui sont incapables de nous faire ressentir le moindre sentiment, la moindre envie, la moindre passion, la moindre souffrance.
Jean-Marie Lanlo Lire la critique complèteSéquences
L'oeuvre de Denys Arcand s'aventure sur ce terrain thématique. Si son sujet principal est celui de la beauté, son sujet secondaire, qu'on peut lire en sous-texte, n'est autre chose que la quête de la joie intime et sa profonde labilité.
Pierre-Alexandre Fradet Lire la critique complèteFilms du Québec
Se rapprochant bien plus du ratage de Stardom (2000) que des mémorables réunions entre copains du Déclin (1986) ou des regrets amers des Invasions (2003), Le règne de la beauté, est une romance dépassée, pédante et vide, filmée à la manière d'une telenovela qui aurait du budget.
Charles-Henri Ramond Lire la critique complète