Le juge
v.o.a. : The Judge
Avocat de renom de Chicago, Hank Palmer doit se rendre dans sa ville natale de l'Indiana pour assister aux funérailles de sa mère. Il n'a d'autre choix que de renouer avec ses frères, Glen et Dale, et son père, Joseph, le juge attitré du tribunal local depuis 42 ans. Leurs relations sont très affectées par un drame qui s'est déroulé il y a plusieurs années. Lorsque Joseph est accusé de meurtre suite à un accident de voiture, Hank décide de rester et d'utiliser son talent d'avocat pour défendre son père, qui se condamne même s'il dit ne pas se souvenir de la collision.
Distribution
Réalisation
Production
Scénarisation
studios
- Big Kid Pictures
- Team Downey
- Warner Bros. Pictures
distributeur
- Warner Bros. Canada
Liens
Revues de presse
Médiafilm
La mise en mise en scène est lourde et statique. Quelques effets spéciaux un peu rudimentaires viennent briser le parti pris intimiste du propos tout en rendant encore plus visible le manque d'agilité de la caméra.
Médiafilm Lire la critique complèteLe Soleil
Le juge traite de rédemption, mais sans avoir un angle original ou fort sur la question. L'intérêt du long métrage réside donc dans le jeu des acteurs. Le grand Robert Duvall est absolument impérial. Il réussit, à la longue, à révéler l'humanité de Joseph Palmer sous sa toge de juge. Quant à Downey Jr., l'acteur de Chaplin et de Tonnerre sous les tropiques refait périodiquement surface même s'il a de la difficulté à réfréner ses élans cabotins. À noter aussi : Billy Bob Thornton, toujours aussi intense, dans la peau d'un procureur en mission.
Éric Moreault Lire la critique complèteSéquences
Si d'une part, Downey cède parfois à certains tics qu'il affectionne depuis quelque temps, il s'en rend vite compte et révise son jeu immédiatement. Tout le contraire de Duvall, toujours digne, noble, d'une rigueur remarquable, parmi l'un des plus grands acteurs à Hollywood. Verdict : un drame intimiste plutôt mi-figue que mi-raisin.
Élie Castiel Lire la critique complèteAgence QMI
La réalisation de Dobkin est solide, sinon remarquable. Dobkin avait un pari à relever avec le scénario, qu'il a retravaillé avec Nick Schenk et Bill Dubuque. Et il y est parvenu en évitant de tomber dans le piège d'une conclusion larmoyante, bien que le film se termine sur une note aigre-douce.
Bruce Kirkland Lire la critique complèteCinéfilic
La réalisation plate, digne d'un téléfilm, n'est pas là pour aider, mais la faute revient surtout au scénario. Pour développer son récit sans surprise, le film s'appuie sur des dialogues qui semblent surtout destinés à servir les acteurs.
Olivier Bouchard Lire la critique complèteRolling Stone
But director and co-writer David Dobkin coats every cliché with cheap theatrics. Go ahead, see The Judge just for Downey and Duvall. But to cite another recent dud, this is where I leave you.
Peter Travers Lire la critique complèteCinema Blend
The Judge's deepest flaws would be considerably softened if the movie featured a modest runtime, but at more than two hours and 20 minutes long, the film is the textbook definition of a slog.
Eric Eisenberg Lire la critique complèteJoblo.com
It's schmaltzy and occasionally shameless in its attempts to tug at your heartstrings, but it can't be denied that the film often works and is always entertaining. It's far from perfect, but it's a solid crowd-pleaser.
Chris Bumbray Lire la critique complèteLa Presse
Grâce à la qualité de l'interprétation, The Judge ne s'en sort quand même pas trop mal. Les situations dramatiques qui ponctuent cette production somme toute moyenne n'ont cependant rien de bien distinctif.
Marc-André Lussier Lire la critique complète