Le guide de la famille parfaite
v.o.f.s.-t.a. : The Guide to the Perfect Family
Martin a toujours mis beaucoup de pression sur les épaules de sa grande fille, Rose, qu'il appelle sa « championne ». Maintenant âgée de 16 ans, Rose ne veut pas décevoir son père, mais entre ses entraînements de hockey, ses cours de danse, ses études et ses rencontres avec ses tuteurs, elle ne sait plus où donner de la tête. Quand des copies d'examens des années précédentes et de la drogue sont retrouvées dans son casier, elle se fait suspendre de l'école. Martin est furieux, mais doit se rendre à l'évidence : sa fille ne va pas aussi bien qu'il croyait...
Distribution
- Louis Morissette (Martin Dubois)
- Emilie Bierre (Rose Dubois)
- Catherine Chabot (Marie-Soleil Blouin)
- Xavier Lebel (Mathis Dubois)
- Isabelle Guérard (Caroline)
- Gilles Renaud (Robert Dubois)
- Louise Portal (Monique Dubois)
- Alexandre Goyette (Stéphane Dubois)
- Jean-Carl Boucher (Pierre-Luc Roy)
Réalisation
Production
Scénarisation
studio
- K.O. 24
distributeur
- Les Films Opale
Liens
Revues de presse
Médiafilm
En effet, la mise en scène s'y fait plus sensible et nuancée, surtout lorsqu'il s'agit de dramatiser le malaise existentiel du personnage d'Émilie Bierre, particulièrement émouvante dans un rôle difficile.
Lire la critique complèteLa Presse
Trop d'activités, trop de planning, trop d'encadrement, trop de bouffe santé. Trop de règles. Or, à force de multiplier les exemples, le film en fait justement... trop !
Lire la critique complèteJournal de Montréal
En conclusion, ce premier gros film québécois à être lancé sur nos écrans cet été se révèle un solide divertissement.
Lire la critique complèteLe Devoir
La détresse psychologique chez les enfants n'est pas un sujet à faire rire, et c'est peut-être là la faiblesse du film : avoir voulu jouer sur deux plans.
Lire la critique complèteKinoCulture Montréal
Le guide de la famille parfaite n'est pas une comédie comme on l'entend, mais à laquelle on ajoute l'attribut dramatique. Car c'est ainsi la vie, des tours qu'on se joue, des tours qu'on nous joue. Et malgré l'absence dans l'écriture de Ricardo Trogi, on sent sa patte se profiler partout. Car le cinéma, c'est une aventure d'équipe. Pour le reste, un récit épisodique familial sur les quadragénaires banlieusards d'aujourd'hui.
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