Le banquet : portons le carré rouge!
A revoir, film québécois sur le sujet actuel de l'heure! Disponible en DVD, réalisé par Sébastien Rose.
Ne dressez pas la table!
Il n'y aucun grand banquet... plutôt un très gros navet. Trop c'est comme pas assez. Que doit-on comprendre de tout ce méli-mélo politique et intellectuel? Ouf! Vite la sortie.
Ouch! Le banquet!
Depuis l'annonce du fédéral annonçant les coupures dans la culture, je me questionnais à savoir pour quelle raison, j'ai compris après le visionnement du film, Le banquet, la raison : quel navet.
Où est la morale?
Le film soulève bien une réalité québécoise, mais on dirait que le scénariste manque d'opinion dans son film. Il rend le film qui avait un bon potentiel vers un cul-de-sac. Il va réussir à soulever une réaction à tout le monde qui va regarder le film. La frustration sera la plus populaire. Le film manque de cohérence et de profondeur. Les personnages font un bon rôle dans un film qui manque de contenu crédible. La scène de tuerie est complètement inutile s'il n'y a pas de morale. La crise du système d'éducation est un cas réel et toutes les tueries qu'on a eu dans les lieux publics n'ont aucun lien avec l'histoire de ce personnage. Alors, manque de cohérence dans un sujet d'actualité. Gardez votre 10$ pour payer vos frais de scolarité au lieu...
Pathétique, violent et 100% inutile
Encore un film pathétique mettant en vedette des personnages ultra-paumés qui s'auto-détruisent. Quand allons-nous sortir de cette culture misérabiliste? Une véritable séance de torture psychologique. Aucune critique ou réflexion pertinente ou approfondie sur notre système d'éducation dans ce film. Seulement une mise en scène stérile de personnage qui s'entretuent. Gardez votre 10 $ pour parrainer un enfant en Afrique, en Asie ou en Amérique latine. Comme ça, vous allez réellement faire quelque chose de constructif pour l'éducation...
Le banquet, un miroir déformant?
J'ai vu le film lors d'une projection gratuite offerte strictement aux étudiants. Principalement originaires de l'UQÀM, les étudiants présents étaient directement interpellés par le film de Rose qui utilise comme toile de fond la grève de l'année dernière. Suivi d'une discussion avec l'auteur, ce dernier fut contraint de défendre certains choix de mise en scène, remis en question par des étudiants qui l'accusent de propager une image négative du mouvement étudiant à l'instar des médias de masse. De toute évidence, plusieurs auraient souhaité que le film soit, au lieu d'un questionnement sur l'éducation et la filiation, une oeuvre pamphlétaire en leur faveur. Au contraire, « Le banquet » est un film exigeant et sans concession, qui s'éparpille sur plusieurs trames narratives donc les clés de l'intrigue ne seront dévoilées que lors d'un acte final à la fois brutal et tragique. Quoique imparfait (Rose en fait beaucoup trop pour illustrer son propos), « Le banquet » est une œuvre courageuse, indéniablement ancrée dans son époque. Au lieu de s'offusquer de l'image apparemment négative que le film donne des étudiants, ces derniers devraient se demander pourquoi les gens ont cette perception d'eux. Rose affirme qu'il voulait faire un film qui provoque réflexion et discussion. Sur ce point, impossible de dire le contraire, il a définitivement réussi son coup.
Le banquet
Très bon film qui nous touche personnellement, qui met nos valeurs en doute. La société est fragile, le système a des ratés. Des jeunes en quête d'identité qui s'expriment par la violence physique et verbale (émeute, tuerie, drogue). Ce film de Sébastien Rose va nous faire réfléchir longtemps.
Violence gratuite
Je ne suis pas sortie avant la fin du film par courtoisie pour les personnes qui ont fait le film. Moi et mon mari n'avons vraiment pas aimé ce film. On sait qu'il y a de la frustration de la part des profs et étudiants et tous ces problèmes de drogue, etc. mais en sortant du film, c'était décourageant. Où allons-nous pour faire de tels films qui ne donnent aucune bonne morale pour la vie sur cette Terre, aucun encouragement. Il me semble que le jeune aurait pu du moins être aidé par le prof, je ne sais pas... Mais qu'offrons-nous à nos jeunes qui vont voir ce film? C'est comme si c'était normal ces choses-là.