La sorcière noire
v.o.a. : Season of the Witch
Après avoir déserté les croisades, Behmen et Felson, deux guerriers de légende, tentent de retourner chez eux où ils espèrent vivre paisiblement jusqu'à la fin de leurs jours. Mais rapidement, ils réalisent que leur monde a été douloureusement frappé par la peste, et que la civilisation qu'ils avaient quittée n'est plus du tout la même. Le Cardinal d'Ambroise, qui se meurt justement de cette maladie, les charge d'une mission qu'ils ne peuvent refuser : ils devront escorter une sorcière que l'on accuse d'être la responsable de l'épidémie jusque dans un temple, où des moines s'assureront de la mettre hors d'état de nuire.
Distribution
Réalisation
Production
Scénarisation
distributeur
- Alliance Vivafilm
Revues de presse
Médiafilm
Ces fréquentes ruptures de ton n'aident en rien une intrigue laborieuse, minée par une logique interne boiteuse et ponctuée de vaines tentatives d'humour.
Lire la critique complèteCinema Blend
It's not nearly funny or weird enough to see with friends after a few drinks, and despite some impressive locations it doesn't have enough visual appeal to simply watch on mute one of these days on cable.
Lire la critique complèteUSA Today
Nicolas Cage and co-star Ron Perlman are a little too clever, too sardonic and way too contemporary to convince as swordsmen in the 1300s.
Lire la critique complèteThe Gazette
I wish I could say the movie was successful at one or the other, but it's not. It's a mess. But, Season of the Witch offers a sobering whiff of sulphur at just the right moment.
Lire la critique complèteLecinema.ca
Jouant la corde stoïque jusqu'au bout, les interprètes donnent l'impression de s'ennuyer fermement.
Lire la critique complèteLa Presse
Season of the Witch est un navrant ratage qu'il vaut mieux prendre pour une série B visuellement bien faite mais au scénario disloqué, aux dialogues absurdes, au montage décousu et à la trame sonore usinée.
Lire la critique complèteThe Los Angeles Times
What's most disappointing, though, is how Cage seems to be sleepwalking through so much of it.
Lire la critique complète