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Belle suprise. Surprenant. Une réussite.
Étant un fan de Disney je suis allé voir cette adaptation hier un peu de reculons avec toutes les critiques négatives que j'avais lu.
J'ai été flabergasté par la réussite de ce film. Que ce soit Ariel, le prince Éric, la chimie entre les deux où tous les autres personnages, tout est parfait. Mention spécial à Audrey Louise Beauséjour pour la chanson parmi ces gens en version française.
Le réalisateur Rob Marshall a réussi à faire revivre l'un des dessins animés les plus emblématiques de Disney, La Petite Sirène, dans une version en "live-action" avec des acteurs réels. Le film capture la magie du dessin animé original tout en introduisant des thèmes contemporains. L'histoire se déroule dans un monde marin enchanteur où l'océan est vivant et vibrant de couleurs. Cependant, le film aborde également les problématiques actuelles telles que la pollution plastique, les espèces en voie de disparition et les dégâts causés par l'activité humaine sur les océans.
Javier Bardem incarne le roi Triton, père d'Ariel, et utilise sa voix puissante pour exprimer les reproches envers les humains qui nuisent à l'équilibre des océans. Ce thème n'était pas présent dans le dessin animé original. Bardem, un fervent défenseur des océans dans la vie réelle, a permis au réalisateur et au producteur du film de traiter cette question avec subtilité et sans tomber dans la lourdeur. L'objectif était de rappeler au public que l'océan est vivant, sans pour autant imposer une leçon de morale.
La musique, composée par Alan Menken, ajoute à la légèreté du film. Menken a remixé habilement les chansons originales, leur donnant une nouvelle profondeur tout en conservant leur saveur. Les chansons du film, y compris la célèbre "Under the Sea", sont espiègles et entraînantes.
En somme, cette nouvelle adaptation de La Petite Sirène offre un spectacle visuellement captivant et musical, tout en abordant des enjeux contemporains et en remettant en question les traditions.
Plate, long et Woke
La barre est devenu tellement basse en ce qui concerne les films que n'importe quelle platitude est produite à coût de 250 millions de dollars et ne propose absolument rien d'original ou de nouveau.
C'est pas parce-que c'est Woke que c'est obligatoirement bon. C'est tout à fait le cas ici.
Raté
Perte de temps.
😂 N'écoutez pas les Critiqueux négatifs 😂
Très bon film! Visuellement éclatant! 🌟 Vos enfants vont l'adorer!!! 💜💜💜 Ceux qui critiquent négativement n'ont probablement pas créé grand chose dans leur vie. 👇 Tout de même hilarant à lire. 😂 surtout venant de gens qui sont zéro le public cible. 😂
Très satisfait!
Je dois avouer que les premières scènes du film ne sont simplement pas très bonnes (surtout le CGI…). Toutefois les performances d’Arielle, Sébastien et Ursula m’ont amplement gardé « entertained » jusqu’à mon numéro préféré : Under the sea! À partir de ce moment là, le film m’a totalement charmé. Ce remake est très engageant du début à la fin, mais il devient encore meilleur après ce numero!
Le CGI est particulièrement mauvais au début du film (un drôle de choix), mais plus le film avance, plus la beauté de ce monde ressort et on passe par dessus! Il y a beaucoup de nouvelles scènes et je les ai pour la plupart tous bien aimés!
C’est un film que je vais réécouter plusieurs fois, mais je risque de sauter les premières scènes… Bon film!
Abysses wokes et naufrages visuels.
Pour X raisons, le naufrage artistique et probablement économique, vu les premiers chiffres et compte tenu du budget, de cette nouvelle adaptation d’un dessin animé estampillé Disney en prises de vues réelles était prévisible. D’abord, de vouloir trahir (ou moderniser selon la note d’intention...) le dessin animé original était inquiétant. En effet, ici on continue, un peu comme le fait Netflix, à perpétuer des idées et propagandes wokes et/ou assimilées à de la cancel culture ce qui s’apparente à tendre le bâton pour se faire battre et se mettre à dos la moitié voire plus du public. Pourquoi prendre une sirène de couleur alors que les contes issus du catalogue Disney en regorgent de superbes, de « La Princesse et la Grenouille » à « Lilo & Stitch », tandis que celle du dessin animé original est d’une blancheur scandinave. En revanche, de faire de la mère adoptive du Prince une reine caribéenne, donc de couleur, est bien plus acceptable et même appréciable. Ensuite, le côté aquatique de ce conte rendait le côté technique extrêmement hasardeux et complexe. Si le rendu n’est pas non plus catastrophique, il est peu probant.
Même si on met de côté ces considérations sociétales techniques pour ne parler que de cinéma, le film est mauvais. L’un de ses bons points est paradoxalement l’interprétation de la jeune Hayley Bennett. Une sirène fidèle à l’original eut été tout de même plus adapté, elle rayonne dans cette version live de « La Petite Sirène ». Enjouée, rayonnante et complètement en accord avec celle du dessin animé sur les traits de caractère, c’est peut-être paradoxalement elle qui est le meilleur atout du film. Et encore une fois, on se demande quand la firme aux grandes oreilles va arrêter de nous refaire ses classiques leur faisant perdre tout leur charme. Pour un « Le Roi Lion » et un « Le Livre de la Jungle » extrêmement réussis grâce aux progrès des images de synthèse avec un anthropomorphisme bluffant et un côté plus sombre probant, combien de ratages tels que « La Belle et la Bête » ou, pire, « Cendrillon », à côté duquel se range aisément ce nouvel essai de transposition? On notera aussi l’excellent « Cruella » qui a su sortir du lot mais n’est pas vraiment un Disney réactualisé à proprement parler. Bref, on est face à un film sans magie, triste et désincarné.
Les images sous-marines sont terriblement sombres et laides à quelques beaux plans près sur la faune aquatique. Le rendu est horriblement sombre et c’est encore pire en 3D, forcément. Rob Marshall, pourtant à la barre de l’immense et magistrale comédie musicale « Chicago », n’arrive jamais à transcender les numéros chantés en quelque chose de beau. Exception faite de celui d’Ursula à la limite, c’est niais, c’est mou, c’est triste et dépassé. Quant aux scènes hors de l’eau, elles font complètement toc. Entre fonds mal incrustés et décors en carton-pâte, on se croirait dans un vieux film au budget limité. Javier Bardem est ridicule en Triton, les sidekicks, Sebastian, Polochon et la Mouette ne sont guère réussis et seule Melissa McCarthy en méchante sorcière tire (un peu) son épingle du jeu. Le pire est que tout cela dure plus de deux heures où l’ennui se mélange à la torpeur. Espérons fortement que ce film fasse le bide mérité pour que Disney arrête le massacre hormis quelques spécimens peut-être plus adaptés (« Les Aristochats »?).
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Mon pauvre petit
J’aime que l’on peut accepter une femme avec une queue de poisson, une autre avec des attributs de pieuvre et des animaux qui parlent, mais que la petite sirène ne soit pas blanche??? ÇA C’EST TROP!!! C’est pas woke mon ami, t’es juste raciste sur les bords;) (clairement si t’en parle c’est parce que ça t’as bien dérangé) Retourne écouter la version animée si tu n’es pas content. Il n’y a personne qui t’a obligé de venir voir la nouvelle version. Bonne soirée!
Parce que ce commentaire ne passe pas
Premièrement, merci à Movie1234 par son intervention.
Je veux ajouter que la petite sirène n'est pas une personne réelle et bien imaginée. L'argument de ne pas changer la couleur de peau d'un individu ne tient pas aussi bien. De plus, c'est comme si vous insinuez que par la peau d'une personne, on ne ressent pas autant d'empathie à un personnage, ou ne s'identifie pas autant à elle. C'est tout simplement raciste. Ensuite, elle était représentée comme blanche puisque ce conte a été écrit au Danemark à la fin du 19e siècle.
J'acclame votre soutien à la Princesse et la grenouille, et Tiana, première princesse noire dans l'univers de Disney. Il ne faut juste pas oublier que ce conte est de la région Allemande, également au 19e siècle, et que l'adaptation Disney avec un personnage noir a été hautement critiqué par des personnes comme vous.
J'ose imaginer que dans 10 ans, lorsque vous laisserez une critique raciste vous donnerez cette fois en example l'excellent travail pour Tiana et Ariel contre le prochain personnage fictif issu de la diversité.