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la petite et le vieux
Quel film extraordinaire, Gilda et Juliette sont fait pour jouer ensemble l'histoire est touchante réaliste des années 80, l'emplacement ce déroule dans un quartier pauvre cela m'a beaucoup touchée, ls vont sûrement gagner un prix . Je recommande fortement ce film toutes et tous. BRAVO!
Wow
J’ai adoré ce film c’est brillant,touchant, drôle tout est reproduit a la Perfection pour nous ramener a notre enfance des années 80 les acteurs sont attachants a voir ca va rester dans la Mémoire du cinema ce film.
Tout est dans le regard
Quand la magie du cinéma opère, c’est une expérience à vivre en salle. La petite et le vieux auront autant de charme au petit écran, mais c’est le genre de film qui mérite d’être apprécié dans sa pleine mesure, ne ce serait-ce que pour dire un jour: ce classique-là, je l’ai vu au cinéma. La comparaison avec Florida Project de Sean Baker est boiteuse, mais le contraste entre la forme et le fond est aussi éclatant. Le contexte québécois des années 1980 permet ce décalage de ton qui rehausse la saveur de chaque scène.
Gildor Roy est fabuleux en vieux, sa façon de bouger, de parler, ses répliques font mouche, mais l’ingrédient magique c’est définitivement la petite : Juliette Bharucha est une révélation. À 10 ans, elle amène le film à un autre niveau. La lucidité se lit sur son visage. Plusieurs scènes deviennent émouvantes à cause des regards qu’elle porte sur son entourage : de vrais moments de cinéma.
Patrice Sauvé signe ici son meilleur film. Je n’ai pas lu le roman de Marie-Renée Lavoie, mais l’histoire alterne habilement la comédie et le drame. La mise en scène est fluide. Le quartier Limoilou des années 80 est un personnage à part entière et le film aborde même les enjeux de désinstitutionalisation qui débutèrent à cette époque. Ce n’est pas un Conte pour tous, les enfants vont aimer, mais il faut être adulte pour comprendre. Je ne serais pas étonné que ce film devienne un ambassadeur de notre cinéma à l’étranger.
Confiserie québécoise.
On avait envie d’y croire à cette adaptation québécoise d’un roman éponyme. Surtout que le cinéma québécois est plutôt habitué (et doué) en récit initiatique mettant en scène des enfants en plein apprentissage de la vie. Du très drôle, léger et réussi « Jeune Juliette » en passant par le méconnu mais magnifique « Jouliks » de Mariloup Wolfe, on a déjà connu de bien belles réussites dans ce genre de film prisé par le cinéma florissant et garni de la Belle Province. Malheureusement, « La Petite et le Vieux » s’avère clairement moins convaincant. On retrouve cet aspect mignon et un long-métrage pavé de bonnes intentions mais la sauce prend moins que dans d’autres œuvres du genre. Pire, après une première partie à laquelle on laisse le bénéfice du doute, qui se regarde honnêtement mais sans grande passion, l’ennui pointe le bout de son nez. On peut pointer du doigt la faute sur un script qui s’éparpille sur plein de sujets et thématiques diverses mais sans vraiment en investir aucune. Certes, on accordera à « La petite et le vieux » de traiter de sujets lourds et durs tels que l’alcoolisme, la maladie ou la précarité de manière accessible pour tous mais cela n’en fait pas des moments creusés et pertinents pour autant. On a du mal à trouver un quelconque point d’accroche narratif sur la durée du film.
La jeune actrice qui joue le rôle principal est un excellent choix de casting et elle tient le haut de l’affiche avec aplomb et la dragée haute à ses compagnons de casting, notamment Marylin Castonguay et Vincent-Guillaume Otis, tous deux très bien. En ce qui concerne Gildor Roy, il colle parfaitement à ce rôle de vieux bougon vulgaire mais le patois québécois, voire l’ancien argot, qu’il emploie fait que toute personne non québécoise ne va pas saisir grand-chose de ce qu’il annone. Sans sous-titres, on ne comprend pas la moitié de ce qu’il dit et c’est chose rare dans le cinéma québécois qui a tendance à vulgariser en général la langue de Molière pour le cinéma de manière à ce qu’elle soit compréhensible pour tous. Cela refait un peu pareil que pour le « Mummy » de Dolan ou là c’était le parler jeune qui posait problème. Ici, si on ne manie donc pas le français du Québec d’antan, la compréhension s’avère donc ardue. Et il faut avouer que si la complémentarité entre cette jeune fille et son vieux voisin est correcte, il n’y pas assez de liant et de moments partagés pour véritablement plonger (et adhérer) à leur relation et leur complicité qui apparaît tard et se termine tôt au sein du film. En outre, il semblerait que « La Petite et le Vieux » s’adresse avant tout à deux publics en oubliant les autres : les enfants et adolescents d’abord et le troisième âge ensuite. Pour les autres, c’est mignon, bien reconstitué et non dénué de quelques séquences amusantes, émouvantes et/ou sympathiques mais rien qui marquera particulièrement le cinéma québécois et encore moins le cinéma tout court.
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CUTE, SANS PLUS
Un petit film cute, mais qui battera pas de record. Gildor très bon comme toujours, la petite fille bien bonne également et Vncent Guillaume Otis omniprésent dans le film.
la petite et le vieux
J ai beaucoup aimé ce film, belle prestation de la jeune comédienne et de Gildor Roy que j adore.
Légereté et sensibilité
Une chronique de l’enfance à Limoilou dans les années 80 qui évite le misérabilisme en se centrant sur le personnage fantasque d’Hélène-Jo jouée par l’excellente Juliette Bharucha.