Bandes-annonces & Images

Revues de presse

Médiafilm

Très bon
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Les thèmes fétiches du cinéaste madrilène, l'image de soi, l'identité sexuelle, la manipulation, sont abordés de front dans un récit d'une grande complexité narrative, aux excès mélodramatiques parfaitement assumés, dont le moteur est une vengeance aussi terrible que tordue.

Louis-Paul Rioux Lire la critique complète

The Gazette

Acceptable
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It's all very odd coming from a man who usually has no trouble entertaining as he reveals insights about the dark side of the human spirit. But with little in the way of laughs, we are left with a cynical and - worse * boring thriller that ranks among the most mediocre of Almodóvar's repertoire.

T'Cha Dunlevy Lire la critique complète

La Presse

Très bon
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Malgré son caractère très dérangeant, La piel que habito est à classer dans les Almodovar de très bon cru. Antonio Banderas, qui avait tourné cinq longs métrages avec son mentor avant d'aller faire carrière à Hollywood, trouve ici l'un de ses meilleurs rôles.

Marc-André Lussier Lire la critique complète

Lecinema.ca

Bon
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Pedro Almodóvar s'essaye au film noir avec La peau que j'habite, un suspense clinique réalisé et interprété de mains de maître. De quoi compenser pour ce scénario qui, s'il est à la fois fascinant et déstabilisant, s'avère également tiré par les cheveux et parsemé de fils blancs.

Martin Gignac Lire la critique complète

Voir

Très bon
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De fait, si le tout est orchestré de main de maître sur fond de mélodrame, genre qu'il maîtrise avec brio mais ici sans son irrésistible effervescence, La piel que habito se révèle sans doute l'une des histoires d'amour les plus tordues et complexes qu'Almodovar ait racontées.

Manon Dumais Lire la critique complète

24imag

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Alors, cette peau cinématographique que le cinéaste madrilène habite comme personne d'autre, est-elle mineure ou majeure? Qu'importe. Lorsqu'un artiste reste à ce point fidèle à lui-même tout en évoluant, chaque incarnation, fut-elle aussi conceptuelle que celle-ci, vaut le détour.

Éric Fourlanty Lire la critique complète

Canoë

Extraordinaire
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La peau que j'habite demeure un film troublant qui vous hante longtemps après la fin du générique - et non d'une manière agréable, selon votre niveau de sensibilité.

Jim Slotek Lire la critique complète