La passion d'Augustine
v.o.f.s.-t.a. : The passion of Augustine
Mère Augustine, une religieuse passionnée et résiliente, dirige avec succès son couvent, spécialisé en musique, aux abords du Richelieu. Un jour, sa soeur lui demande de prendre sa nièce Alice sous son aile pendant un certain temps. La jeune femme, un peu rebelle, est une pianiste hors pair et rappelle à Augustine un passé qu'elle s'efforçait d'oublier. Un jour, les Soeurs apprennent que le gouvernement du Québec instaure un système d'éducation publique. Elles comprennent dès lors que l'avenir de leur école est menacé, et avec elle celle de toute une génération d'institutions aux vocations religieuses.
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- Lyla Films
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- Les Films Séville
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Revues de presse
Médiafilm
Toutefois, le récit aurait gagné en profondeur si la réalisatrice avait concentré l'histoire autour des seules religieuses, les sous-intrigues concernant les élèves ayant moins d'intérêt.
Lire la critique complèteLe Soleil
La force du film fait aussi sa faiblesse. S'il montre beaucoup, il raconte peu.
Lire la critique complèteTon Canapé
La passion d’Augustine, c'est la beauté de la musique classique, et l'ambiance qui nous est offerte dans le nouveau film de Léa Pool correspond en tout points à une symphonie de Bach (...).
Lire la critique complèteCanoë
La passion d'Augustine met également en lumière de manière brillante la nécessaire évolution du catholicisme à l'heure du début de l'émergence du mouvement hippie et du «flower power».
Lire la critique complèteCinémaniak.net
Heureusement le soin apporté à la direction artistique, à la mise en scène ainsi qu'à quelques idées de réalisation permettent d'apprécier le moment comme un long passage dans une époque révolue et se faire gagner par l'émotion d'un film beau et délicat.
Lire la critique complèteLa Presse
À la fin, on se rend compte que c'est avant tout la musique, par moments émouvante, qui s'est doucement insinuée en nous.
Lire la critique complèteFilms du Québec
(...) La passion d'Augustine, production grand public réussie dans lequel tout baby-boomer se reconnaîtra, a tout ce qu'il faut pour être l'un des beaux succès du cinéma commercial québécois de l'année.
Lire la critique complèteCinéfilic
Le film enchaîne alors les maladresses et les effet mélodramatiques aussi superflus que mal maîtrisés, et contrarie finalement les promesses de la première heure.
Lire la critique complèteSéquences
Léa Pool signe ici son œuvre la plus achevéepar une facture nette et précise aux décorset aux éclairages justes et naturels.
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