La maison du pêcheur
v.o.f.s.-t.a. : Summer Crisis
Été 1969. Les frères Paul et Jacques Rose et leur ami Francis Simard débarquent à Percé afin d'ouvrir La Maison du pêcheur, un lieu de rencontre pour les habitants du coin ayant pour but de promouvoir l'indépendance du Québec. Des jeunes de partout viennent camper sur les lieux. Le jeune Bernard, fils de pêcheur des environs, s'intéresse au groupe malgré les réticences de sa fiancée Geneviève. Alors que les autorités, menées par le propriétaire d'un camping voisin, tentent de faire fuir les trois membres du RIN, ces derniers définissent leur future action politique qui mènera à leur arrestation à l'automne 1970.
Distribution
Réalisation
Scénarisation
studio
- PVP-Fiction
distributeur
- Les Films Séville
Revues de presse
Médiafilm
Très crédible en Paul Rose, Vincent-Guillaume Otis se démarque, mais le jeu souvent chargé des interprètes, surtout ceux qui campent les "vilains", provoque de regrettables ruptures de ton.
Jean Beaulieu Lire la critique complèteLe Soleil
En définitive, La maison du pêcheur manque d'envergure et, surtout, de tension dramatique.
Éric Moreault Lire la critique complèteLa Presse
Pour le reste, La maison du pêcheur est un bon film grand public, manichéen à souhait, mais captivant, qui ne manque pas de cohérence ni d'élan.
Nathalie Petrowski Lire la critique complèteAgence QMI
L'absence de couleurs (le film est présenté en noir et blanc) apporte un certain réalisme au récit, considérant que les faits se sont déroulés en 1969.
Véronique Harvey Lire la critique complèteAffaire de gars
Sans grande surprise, le récit comporte beaucoup de personnages. Toutefois, les motivations de chacun sont bien exposées et, dans l'ensemble, le tout demeure cohérent.
Philippe Michaud Lire la critique complèteSéquences
De plus, si le traitement réservé au quatuor central, montré ici comme le clan des justes, permet au film d'appréhender la tension de la dimension historique, il en est tout autre des locaux, montrés comme de joyeux empêcheurs de révolutionner en rond.
Charles-Henri Ramond Lire la critique complète