La garde
Luc Bisaillon ne peut plus voir son fils adolescent à cause d'un incident violent qui s'est produit alors que ce dernier était toujours un bambin. Luc contrevient régulièrement à l'ordre de la cour et passe à chaque fois quelques temps en prison. Un jour, il décide d'enlever son fils, Samuel, pour l'emmener à la chasse au chevreuil dans les bois. Entre eux, le malaise est palpable, mais ils se rapprochent peu à peu. Puis, un incident se produit et Luc est gravement blessé. C'est Samuel qui doit le mener à travers la forêt afin de trouver du secours.
Distribution
Réalisation
Production
Scénarisation
studio
- Cité-Amérique
distributeur
- Les Films Séville
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Revues de presse
Médiafilm
Malheureusement ce récit de survie superficiel peine à cerner ses deux personnages, bien défendus au demeurant.
Médiafilm Lire la critique complèteLa Presse
Tourné très vite avec peu de moyens, La garde vaut surtout pour la rencontre entre Paul Doucet et Antoine L'Écuyer. Malgré la situation dans laquelle son personnage est plongé, le vétéran propose ici une composition nuancée, qui fait sobrement écho à l'impuissance d'un homme face à l'injustice dont il estime être victime.
Marc-André Lussier Lire la critique complèteAffaire de gars
Bref, on ne peut faire autrement que de souligner l'audace de Sylvain Archambault, qui a décidé d'aborder un sujet aussi tabou que la violence d'un père contre son fils.
Philippe Michaud Lire la critique complèteAgence QMI
C'est une histoire sincère, qui émeut et permet de toucher du doigt ce miracle qu'est l'amour et la compréhension de l'autre.
Isabelle Hontebeyrie Lire la critique complèteVoir
Alors qu'il se concentre sur l'aspect survie, il néglige l'aspect psychologique. En résulte un film décevant qui ne remplit pas ses promesses tant du côté du drame familial que du côté du drame de survie.
Manon Dumais Lire la critique complèteFilms du Québec
Si la réalisation est adéquate et peut s'appuyer sur des aspects techniques maîtrisés, l'interprétation forcée ne parvient pas à nous faire entrer dans la peau des personnages.
Charles-Henri Ramond Lire la critique complète