La dame en or
v.o.a. : The Woman in Gold
Ayant fui l'Europe pendant la guerre, Maria a vécu presque toute son existence aux États-Unis. À la mort de sa soeur aînée, elle désire récupérer les oeuvres d'art de sa famille qui ont été dérobées par les nazis. Ces pièces inestimables qui comprennent plusieurs peintures importantes de Gustav Klimt se trouvent dans un musée de Vienne. Convaincre les autorités semble une tâche impossible, ce qui ne décourage pas la dame âgée. En compagnie d'un jeune avocat dont les descendants ont également souffert pendant la Seconde Guerre mondiale, ils s'envolent vers l'Autriche?
Réalisation
Production
Scénarisation
studios
- Origin Pictures
- BBC Films
- The Weinstein Company
distributeur
- Les Films Séville
Liens
Revues de presse
Médiafilm
Et comme il fallait s'y attendre, Helen Mirren campe avec aplomb et nuances la résiliente dame à l'automne de sa vie, malgré quelques répliques mordantes un peu plaquées.
Louis-Paul Rioux Lire la critique complèteCanoë
Il n’y a pas de demi-teintes ni de nuances, ce qui fait de La dame en or une espèce de téléfilm, certes agréable, mais téléfilm quand même.
Isabelle Hontebeyrie Lire la critique complèteSéquences
Woman in Gold s'insinue dans le cœur des spectateurs comme une espèce d'exutoire face à l'amnésie collective.
Élie Castiel Lire la critique complèteLa Presse
On appréciera quand même Woman in Gold grâce à l'histoire à laquelle on fait écho et aux thèmes intéressants que le récit explore.
Marc-André Lussier Lire la critique complèteRogerebert.com
It is blessed with Helen Mirren, lusciously luminous even with aging makeup as Maria Altmann.
Susan Wloszczyna Lire la critique complèteEntertainment Weekly
Gold aims to be a Philomena-style story of intergenerational friendship and triumph over tragedy; instead, it ends up nickel-plating a narrative that already shone on its own.
Leah Greenblatt Lire la critique complèteJoblo.com
In the end, The Woman in Gold tells a pretty damn intriguing story, and while it’s far from perfect it’s still an agreeable two hours.
Chris Bumbray Lire la critique complète